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DAGOBA
CHRONIQUE DAGOBA - review
Contact groupe https://myspace.com/dagoba
Audio / Video
Mise en ligne le : 29 juin 2013  | Intervieweur : g-rom | Traducteur :

INTERVIEW francaise - pavillon 666 - webzine metal rock
1- Salut DAGOBA, la sortie d\'un nouvel album est toujours un événement, quel regard portez-vous sur l\'ensemble de votre joli parcours ?

Salut ! Nous sommes toujours très excité pour la sortie d’un nouvel album, et vu que celle-ci semblait plus attendue que les autres, et que nos partenaires (labels, managers, agents), sont encore plus ambitieux qu’auparavant, notre excitation est décuplée !! Nous avons déjà eu les premiers retours français, donc la pression est retombée car ils sont majoritairement enthousiasmant voire même carrément dingues !
Nous gardons un œil émerveillé sur ce qui nous arrive, car nous savons que la route est encore très longue pour nous. Donc nous travaillons, et continuons à creuser notre sillon avec une motivation originelle toute conservée.

2- \"Post mortem nihil est\" a été enregistré à Los Angeles, par Logan Mader, comment avez-vous fait pour avoir un tel producteur?

En fait, nous avons enregistré l’album chez nous dans nos studios à Marseille, et nous avons mixé et masterisé à Los Angeles avec Logan Mader. Il a tout de suite cru au projet, dès l’écoute des démos de l’album, et a tout fait pour nous avoir dans son studio. Rien de plus encourageant qu’un gros producteur de ce calibre derrière nous pour donner des ailes a un projet.
Tout ceci a été très simple. On le voulait, il nous voulait.

3- D\'où vous est venu cette citation latine?

Je la trouve très forte et ressemble de prêt à mon mode de pensée et de vie : puisqu’il n’y a rien après la mort, autant vivre nos vie a fond.

4- Votre dernier opus est celui qui a le plus gros son, comment s\'est déroulé le processus d\'enregistrement?

Franky a enregistré ses batteries dans son studio, le Serial Drummer Studio, et j’ai enregistré tout le reste du groupe dans le mien, l’Eagle Black Studio. Nous avons également voulu reconstitué la complémentarité qu’il y a entre le jeu de guitare de Z et le mien, et ainsi le mur de guitare est plus massif sur album il me semble.
Puis nous sommes allés chez Logan Mader, qui a un savoir-faire unique pour ce qui est de faire sonner un groupe de metal !!

5- Et le processus de composition?

J’ai pris une dizaine de jour en Septembre 2011 enfermé chez moi pour composer cet album. Je venais de traverser une sacrée tempête et il été temps pour moi de coucher sur papier tout ce que j’avais en moi.
Par bonheur le groupe a aimé ces compos, et nous les avons donc enregistré telles qu’elles.

6- Deux morceaux sortent du lot, \"Yes, we die\" et \"The greatwonder\"
par leur structure plus \"simple\", aimez-vous composer ce genre de morceau?

The Great Wonder a une structure simple, de notre école : intro / couplet / refrain / pont...etc, car nous aimons les titres faciles d’accès. Nous ne sommes pas dans le progressif ou l’alambiqué, on ne fait pas de la musique élitiste ou pour se prendre la tête.
Par contre, Yes We Die est un peu plus complexe, avec ce refrain final tronqué suivi d’un chorus guitare pour clôturer le morceau.
Ce sont deux morceaux que j’adore. Pas par leur structures, mais par leur mélodie.
Je lis parfois que c’est facile de faire ce genre de chansons. Ceux qui disent cela racontent de la merde.
Dans la simplicité se cache souvent la difficulté. Et faire chanter ou danser les gens n’est pas une mince affaire.

6- \"Yes, we die\" fait-il écho au \"Yes, wecan\" d’Obama?

Oui.

7- A quoi fait référence le titre \"Kiss me, Kraken\"?

Comme chaque titre de l’album, il parle de la fin des temps vécu par une/des personnes différentes. Ici il s’agit de l’Armageddon des marins. Je suis très proche de ce milieu là.il me fascine est fait parti de mon quotidien par chance.

10- Le \"black-métal\" et le \"thrash\" sont très présents dans votre musique, quelles sont vos influences principales?

Elles sont larges. Nous adorons tout ce qui peut se faire en metal ou rock burné. Mais je m’intéresse aussi à tout autre type de musique, car je pense qu’il y a du bon à prendre de partout. Je ne suis pas sectaire. Mais il est vrai qu’en majorité nous écoutons beaucoup de metal.

11- Pouvez-vous nous éclaircir sur le départ d’Izakar?
Z s\'est-il vite bien fondu dans le collectif DAGOBA?

Le départ d’Izakar n’a aucune importance, par contre la venue de Z est une excellente chose pour le groupe !! il a amené sa touche, sa joie de vivre, son charisme, et avec lui le groupe s’est remis en position marche avant, que dire de plus ?
Au bout de 13 ans – ce qui est déjà un miracle en soi – nous changeons de guitariste pour le bien-être de tous !

13- Vous venez de participer au SONISPHERE à Amnéville, avez-vous eu de bonnes sensations et comment avez-vous appréhendé ce moment?

Nous avons eu d’excellentes sensations ! L’accueil du public fût fantastique, nous avons pu retrouver notre public qui est toujours aussi dingue et nous avons pu tester un nouveau titre qui a provoqué du remue- ménage dans la fosse ! Tout ce que nous attendions du Sonisphere, nous l’avons eu. La magie des festivals d’été !!
Nous n’appréhendons pas ces moments, nous les attendons avec la plus grande impatience. Ce sont de véritables communions avec le plus grand nombre.

14- Comment percevez-vous ce festival par rapport au Hellfest puisque vous avez participé au deux?

Nous sommes fiers de représenter la scène française et heureux de pouvoir participer à chacun des deux festivals ! Si nous pouvions faire à tour de rôle l’un puis l’autre, nous serions aux anges !
C’est très bien pour le metal français que ce genre de festival ait lieu sur notre sol.

15- \"Post mortem nihil est\" ayant un potentiel international, avez-vous une tournée hors de nos frontières, voire, aux Etats-Unis de prévue?

Oui. Nous la dévoilerons bientôt.

16- La parole est à vous

Merci pour votre soutien les copains !

Merci de nous avoir accordé de votre temps pour répondre à nos quelques questions.

   

original INTERVIEW - pavillon 666 - webzine metal rock



 




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