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ISHTAR |
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Mise en ligne le : 16 août 2012 | Intervieweur :
Bakounine
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1) Bonjour à vous, Ishtar et merci de répondre a nos questions. Pour commencer, pouvez-vous vous présenter, vous et votre projet musical ? Je suis Ishtar : Italienne, 30 ans, seul membre de ce projet musical. Je m’occupe de la musique a partir de la composition jusqu'à sa diffusion. Le projet présent des titres instrumentaux, simples et suggestifs, de façon néofolk. Les thèmes sont orientés vers le souvenir, le mythe et la vision d’atmosphères brumeuses, enrichi par une interprétation mélancolique et personnelle. 2) Une question que je suis obligé de poser vu que vous êtes italienne. Comment se fait-il que je puisse vous questionner en français ? Avez-vous des origines françaises? No, ma famille est complètement italienne, mais nous avons passé de nombreuses vacances en France, en particulier en Côte d'Azur. En plus, j'ai étudié le français pendant huit ans à l'école, où j'ai eu la chance de lire nombreux classiques de la littérature française en langue originale. 3) Pouvez-vous expliquer votre manière de composer ? Avez-vous une formation musicale "académique" ? Quand j’étais petite, mon père enseignait le piano a mes cousins ; il les recevait chez nous (nous avions un piano dans la salle) et je regardais avec curiosité leurs leçons. A mon tour, j'ai appris plus tard les bases de la musique «académique», bien que je n’aie pas entendu un appel fort dans cette direction. Pour composer, je préfère me permettre des improvisations, des moments d’inspiration. J’aime beaucoup l expérimentation, permettre à aux mains de vaguer sur le clavier dans une sorte de demi-conscience. Je trouve fondamentale la fusion de pensée, sons et images ; je crois que ce soit ma personale manière d’exprimer en forme artistique part de mon monde intérieur. 4) J'ai cru comprendre en regardant des interviews que vous avez fait en italien que tout l'enregistrement et la production de l\'album a été faite sur tablette numérique. Pouvez-vous expliquer comment ça se passe ? Oui, pour l'enregistrement vous avez bien entendu : j’ai utilisée un iPad pour créer tous les MIDI de l’album. En particulier, j'ai surtout basée mon activité sur le logiciel Garage Band. Pour les premiers arrangements j’ai aussi employé la tablette numérique, tandis que pour la production j’ai préféré une méthode plus traditionnelle avec un normal ordinateur. 5) Musicalement, vous jouez une musique ambiante/néo-folk. Quelles sont vos inspirations principales ? Quels styles de musique écouter-vous le plus couramment ? J’aime beaucoup de genres de musique : du métal à la musique classique. Bien que le style de ma musique a ses racines dans les terres du nord de l'Europe, fortement influencé par groupes tels que Ulver et Empyrium, je pense que la nature plus méditerranéenne du projet émerge d’une façon très forte. Mes inspirations principales sont sans doute la mythologie, les rêves et les aspects les plus pures et primitifs de la Nature. 6) Vous avez joué avec des groupes de black metal en Italie. Pensez-vous qu'il y a un lien entre ce que vous faites avec votre projet personnel et votre travail avec les autres groupes ? Est-ce que l'un inspire l'autre ? Oui, je pense que l’inspiration est toujours la même, ce qui me donne des émotions ne change pas. Ce qui change est le point d’observation, l’aspect des ces émotions que j’emphatise et je veux communiquer. La passion pour la musique métal m’a conduite a découvrir groupes folk/métal, ambiant/métal, et de ces-ci au neofolk. Sans mentionner que les années avec ceux groupes mon donnés des notions sur la composition, la production et la diffusion au publique de la musique que je n’aurais jamais pus apprendre toute seule. 7) Quelle est votre opinion sur la scène musicale en Italie et à l'étranger ? Pensez-vous que la numérisation de la musique soit une vraie solution ? Merci a la numérisation, je crois que le publique a de jour en jour plus de moyens pour découvrir et écouter nouvelle musique ; et de la côté des musiciens, au contraire du passé, le problème aujourd’hui n’est pas de produire un album, me d’avoir quelqu’un qui soit intéressé à l’écouter. Dans ce contexte est devenu très important le rôle joué par le webzine, les blogs et le radio qui choisissent la musique à diffuser et conseiller au publique. En Italie et à l’étranger, j’ai rencontré des groupes passionnés et compétents qui écoutent et chroniquent la musique « undergroud », en approchant auditeur moyen avec des bons albums indépendant. Je souhaite qu’ils devient de plus en plus importants et suivis, comme ca qu’ils peuvent réduire la distance entre le musiciens indépendants et le grand publique. 8) Quels sont vos projets à venir (Concerts, album, vidéos, etc...) ? Dans ce moment je suis en train de collectionner et organiser mes idées pour mon prochaine EP. Je n’ai pas encore choisi un titre, mais je voudrai produire quelque chose qui soit la continuation et l’évolution d’ « Ombre », ayant la même forme et brévité, ma qui en pusse plus loin l’atmosphère. 9) Merci d\'avoir répondu à cet interview. Je vous laisse les derniers mots. Merci a vous pour l’attention et pour votre fantastique portal ! J'espère qu’on collaborera à nouveau dans l'avenir, peut-être pour un nouveau album d’Ishtar . |
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