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INFERNO SCI-FI GRIND'N'ROLL |
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CHRONIQUE | |||
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Mise en ligne le : 10 juin 2012 | Intervieweur :
KiLa
| Traducteur : KiLa |
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Salut, Inferno Sci-Fi Grind’n’Roll ! J’espère que tout va bien pour vous. Ravie de pouvoir vous interviewer aujourd’hui. J’admets ne pas avoir trouvé beaucoup d’information à propos de l’histoire de votre groupe, donc, dîtes nous tout ! Depuis quand existez-vous ? Qui est à l’origine du projet ? Inferno est essentiellement 5 potes qui en 2002, après des millions de bières, on décidé de jouer ensemble. Chacun d’entre nous jouait dans d’autres groupes et nos goûts et influences musicales était (et sont toujours) vraiment différentes, du métal extrême, au r’n’r, post-HC, electro, prog, noise et beaucoup d’autres. Inferno est le bordel qui est sorti de tout ça. Un chroniqueur français enthousiaste a définit notre style comme un « gigantesque bordel » et on a beaucoup aimé cette définition. Difficile également de trouver des informations au sujet de votre discographie, pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ? Est-ce que « The fall and rise and fall of Inferno Sci-fi Grind’n’Roll » est précédé par d’autres enregistrements ? Notre premier album éponyme est arrivé en 2004, par un collectif de labels Italiens, il a été soldout et réédité plusieurs fois. Les mêmes labels on publié en 2006 « A Bullet Sounds the Same (In Every Language) », un 3 way split cd avec Inferno, Ovo (Experimental doom monuments) et Psychofagist (schizoid grindcorers). Puis on a eu besoin d’un peu de temps pour réfléchir sur nous même et nous retirer dans une abbaye. Cette expérience nous a amené a publier notre collection de chants religieux « Gregorian Journez » (St God ! Records, 2007.) Puis nous avons rencontré ce gars de Subsound Records, un label vraiment bien basé à Rome, qui nous a convaincu de revenir à notre musique originale. On a sorti notre deuxième album « Pompa Magna » (un concept album à propos des concepts) en 2008. En 2010, on a découvert qu’on préférait les mammifères marins à la musique et on a enregistré « Lullabies for Dolphin’s », un quadruple cd composé uniquement de sons de synthèse. Malheureusement, il n’a pas été édité car aucun label n’était assez courageux pour ça. Après ça, les dauphins ont commencé à nous prier de rester loin d’eux et de refaire de la musique extrême pour les humains. Donc, finalement, en 2012, Subsound Records a sorti notre dernier « The Fall and Rise and Fall ». Et c’est tout ! Votre album est un OVNI (On colle au sujet) que j’ai eu la chance de découvrir cette année, votre musique est difficile à “classer” car elle est variée et rich, comment pourriez-vous la décrire en quelques mots, pour que nos lecteurs se fassent une idée ? Sci-Fi Grind’n’Roll ! Quelles sont vos influences ? Au sujet des influences non musicales, il y a des tonnes de livres et films d’horreur ou de science fiction qui ont ruiné nos vies. Particulièrement les plus merdiques et de mauvais goûts. Pour ce qui est de la musique, on préfère parler de ce qui ne nous influence pas : Power Metal, Yodel, Reggae, Ska and Oasis. Venons en au fait, et à l’album dont il est question aujourd’hui donc, « The Fall and rise and fall… », comment vous est venue l’idée de ce concept album ? La science fiction et l’aspect futuriste de votre musique est il réellement représentatif du groupe ou il s’agît plutôt d’un concept que vous vouliez développer juste pour cet opus ? SCI-FI est notre deuxième nom, darling. Littéralement : we are Inferno SCI-FI grind’n’roll. L’album est decompose en trios parties : “The Fall”, “The Rise” and “The Fall” à nouveau. Pourquoi avoir fait ce choix ? Parce qu’au début, on croyait qu’un vynil avait trois faces. D’où vous viens cet intérêt pour les musiques éléctroniques ? Certains sons font penser à des musiques de vieux jeux vidéos, …Geek Generation ? (Hehe !) On est nés dans les années 70 et avont grandis dans les années 80… Tu peux facilement imaginer quel genre de musique de jeux vidéos nous ont influencé…. Les trucs des années 90 sont toujours nos préférés. (Il y a un morceau de « Speedball 2 » par Bitmap Brothers dans notre titre « Meet the Meatalls ») Raisonnablement, on peut pas être considéré comme des geeks : on est sortis du tunnel. D’ailleurs, comment gérez-vous toutes ces parties électroniques en concert ? Avec quelque boutons ! En fait toutes les parties éléctroniques sont jouées en live par Jimmy Bax (au synthé) et elles sonnent comme sur les albums. On aime pas mettre quelques chose dans les enregistrements qu’on ne pourrait pas jouer sur scène. « The Fall and rise and Fall… » est parfois à la limite de la musique expérimentale, comment est il reçu par vos fans et le public ? D’ailleurs, quel style de public avez-vous ? Votre musique semble pouvoir être appréciée par toute sorte de fanas de musique. Beaucoup de monde aime ça : nos fans sont ouverts d’esprit, c’est sur ! Il faut aussi signalé que beaucoup d’entre eux ont les cheveux ébouriffés. Comme je disais, votre musique semble être vraiment futuriste, spatiale… « cyber ». Sur scène, y a-t-il un jeu de scène particulier pour plonger le public encore plus dans cet univers ? Comme on le disait, ce qu’on joue en live sonne vraiment comme sur les enregistrements. Même les interludes entre les morceaux. Ils nous aident à créer le bon état d’esprit. Parlons de l’artwork maintenant, pourquoi avoir choisi un style épuré comme celui-ci ? Votre musique est tout sauf épurée… On est tout à fait d’accord. En fait il y a eu une erreur de la part de l’imprimeur : une paire de sein géante devait être sur la pochette. Mais on aime bien celle la quand même. Donc, je pense qu’on a parlé de tout ? Si j’ai oublié de parler de quelque chose qui vous semble important, c’est le moment, avez-vous quelque chose à ajouter ? Assieds toi parce que c’est sérieux : On a décidé d’arrêter le groupe et 2012 sera la dernière année d’Inferno. On s’aime toujours les uns les autres et il n’y a pas de problèmes. Après 10 ans, trois enregistrements et des centaines de concerts, on pense juste avoir fait notre temps. Merci d’avoir pris le temps de répondre à cette interview, See you later ! C’était une question ? Ok, See you later. |
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1. Hi, Inferno Sci-Fi Grind’n’Roll ! I hope everything is fine for you. I’m glad to have the chance to interview you today. I admit that I haven’t found a lot of information about the history of your band, so you have to tell us everything ! Since when do you exist ? Who is at the origin of the project ? Inferno is basically five friends that in 2002, after millions of beers, decided to play together. Everyone of us used to play formerly in other bands and our musical tastes and influences were (and still are) really different, spacing through extreme metal, r’n’r, post-HC, electro, prog, noise and so on. Inferno was the damn mess that came out. An enthusiastic french reviewer defined our style a “gigantesque bordel†and we liked this definition a lot. 2. It’s also difficult to find information about your discography, could you tell us more about it ? Is “The Fall and rise and fall of Inferno Sci-Fi Grind’n’Roll†preceded by other recordings ? Our self-title debut came out in 2004 by a combo of Italian d.i.y. labels and was sold-out and reprinted several times. The same labels published in 2006 “A Bullet Sounds the Same (In Every Language)†a 3-way split cd with Inferno, Ovo (experimental doom monuments) and Psychofagist (schizoid grindcorers). Then we needed some time to reflect and so we retired ourselves to an abbey. This experience took us to the publishing of our collection of religious chants “Gregorian Journey†(St. God! Records, 2007). Then we met this guy at Subsound Records, a very skilled Rome-based label, that convinced us to come back to our original sound and published our second metal full-length “Pompa Magna†(a concept album about concepts) in 2008. In 2010 we discovered that we were loving water mammals more than music and we recorded “Lullabies for Dolphins†a quadruple cd featuring only synth sounds. Unfortunately it remained unpublished since no label was brave enough to do it. Afterwards dolphins started to beg us on their fins to stay away from them and to keep on doing extreme music for humans. So finally in 2012 Subsound Records released our latest “The Fall and Rise and Fallâ€. And that’s it. 3. Your album is the UFO (We stick to the point !) that I had the chance to discover this year, your music is hard to be classified because it is varied and rich, how could you describe it in a few words, so that our readers may have an idea ? Sci-Fi Grind’n’Roll! 4. What are your influences ? About non-musical influences there are tons of sci-fi and horror books and movies that ruined our life. Especially the crappy and bad-taste ones. About music, we’d prefer to talk about what DID NOT influence us: Power metal, yodel, reggae, ska and Oasis. 5. Let us come to the point and to the album in question today, « The Fall and rise and fall… ». How did the idea of this concept album come up ? Is the sci-fi and the futurist aspect of your music is really representative of your band or is it just a concept you wanted to develop only for this album ? SCI-FI is our second name, darling. Literally: we are Inferno SCI-FI grind’n’roll. 6. The album is decomposed in three parts : « The Fall », « The Rise », and « The Fall » again, why did you make this choice ? Because at first we thought a vinyl had three sides. 7. Where does your interest for electronic music come from? Some sounds make us think about “old school†Videos Game music, … Geek Generation ? (Hehe!) We were born in the seventies and grew up in the eighties… you can easily imagine what kind videogame music influenced us… The stuff from the nineties is still our favourite (there’s a quote from “Speedball 2†by the Bitmap Brothers in our song “Meet The Meatballsâ€) Reasonably we can’t be considered nerds: we’re out of the tunnel. 8. How do you manage all these electronic parts on stage, by the way ? With some buttons! All the electronic parts are actually played by our synthesizer man Jimmy Bax and they sound live like on the albums. We don’t like to put on the records something we can’t play on stage. 9. « The fall and rise and fall… » is sometimes at the borderline of experimental music, how is it received by your listeners and your public ? Moreover, what kind of public do you have ? Your music seems to beable to touch any kind of music’s lovers ! Lots of people like it: our fans are not short-minded for sure! We also noticed that they mainly have ruffled hair. 10. As I said, your music seems to be really futurist, spatial, … « cyber ». On stage, is there a particular production to plunge the public even more into this universe ? As we told, what we play live is like you ear it on the records. Even the interludes between the songs. They help us to create the right sci-fi mood. 11. Let’s talk about the artwork now, why did you choose a refined style like this ? Your music is everything but refined… We totally agree. Actually it was a mistake by the printing factory: a giant pair of boobs were meant to be on the cover. But we also like this one. 12. So, I think that we talked about everything ? If I have forget to deal with an important subject for you, this is the moment, do you have something to add ? Take a seat cause this is serious: we decided to split the band and 2012 will be the last year for Inferno. We still love each other and there are no issues among us. After ten years, three records and hundreds of gigs we just think we did our time. 13. Thanks you for the time you have dedicated to answer to this interview, See you later ! Was it a question? Ok, see you later. | |||