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HORD
CHRONIQUE HORD - review
Contact groupe http://www.myspace.com/hordofficial
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Mise en ligne le : 21 décembre 2010  | Intervieweur : Matai | Traducteur :

INTERVIEW francaise - pavillon 666 - webzine metal rock
1. Salut Hord, pouvez vous présenter votre line up ? D’où venez vous ?

HORD : HORD est un groupe issu de la scène Montpelliéraine et nîmoise, formé en 2002. Tu fais bien de poser la question puisqu’il y a eu quelques changements de line-up depuis l’enregistrement de notre premier album REBORN FROM CHAOS (fin 2006) : Luc a quitté ses fonctions de guitariste et Laurent « Styx » son poste de chanteur pour rejoindre DETOXED. Ils ont tous les deux été remplacés par Jonathan au poste de guitariste-chanteur. Aujourd’hui le groupe évolue à cinq. Pour l’enregistrement du nouvel album, Jonathan a assuré chant lead et guitares, Moerty Foooley les guitares , Vincent les parties batterie, choeurs et synthés, Kristen la basse et Hadrien (DjFat) les samples et machines. Sur scène, par contre, Hadrien assure aujourd’hui les parties screams et Jonathan les parties mélodiques à la voix. En fait, tout le monde chante même! lol

2. Votre album « The Waste Land » est un concept album sur l’expérience de l’anéantissement et de la fin du monde. Pouvez vous nous en parler davantage ? Pouvez vous expliquer les trois parties qui composent votre opus?

Jonathan : Effectivement, The Waste Land est un concept album musical, littéraire et visuel divisé en trois grands chapitres. Au fil des morceaux, des textes et des pages du livret, on suit un personnage (incarné par David Sandberg sur la pochette) partiellement amnésique, qui se réveille dans un hôpital désaffecté après ce qu’on suppose être l’Apocalypse. C’est lui qui va nous guider sur les terres dévastées et c’est à travers ses yeux que nous allons découvrir le triste spectacle de l’Humanité déchue. Sur la route, paysages de cendres, bribes de souvenirs éteints et hallucinations maladives vont s’entremêler et faire éclater les frontières de l’espace, du temps et de la raison, jusqu’à l’expulsion du dernier souffle dans un chaos sans nom.
En fait, l’album est divisé en trois chapitres mais en cinq parties, si on compte le prologue et l’épilogue, comme dans un livre.
Dans le prologue, on découvre le personnage se réveillant dans un hôpital désaffecté (« The Waste Land pt. 1 »). Le premier chapitre, intitulé « The Silent City », en hommage au court métrage de Ruairi Robinson, raconte la naissance difficile du personnage amnésique dans une ville fantôme, dévastée et sans vie (« Unreal City »). Au silence de mort qui règne à l’extérieur s’oppose les voix du passé qui viennent perturber notre narrateur dans son fort intérieur, pendant son exploration, et commencent à jeter le trouble dans son esprit (« Subdued Voices »). Le deuxième chapitre, intitulé « A heap of Broken Images », correspond dans un premier temps au récit de deux flashbacks (« Epidemic » et « The Watcher »). Dans le premier flashback, « Epidemic », on découvre, dans une atmosphère chaotique hurlée par un crieur publique et des titres de journaux explicites, les raisons qui ont poussé l’Humanité à s’éteindre. « The Watcher » est le récit d’une expérience de mort imminente (Near Death Experience) vécue par le personnage, allongé sur son lit d’hôpital. Dans la deuxième partie du chapitre, « A heap of Broken Images » fait le lien avec « Uneal City » et « Subdued Voices » : le personnage déambule dans les rues de la ville au rythme de flashbacks incessant, de plus en précis et obscures à la fois. « The Burial of the Dead » reprend des passages du poème de T.S. Eliot, pour marquer la prise de conscience de la fin de l’humanité par le personnage principal.
Dans le troisième chapitre, « On the Road », hommage au livre de Jacques Kerouac et au roman de Cormac McCarhty The Road (La Route), on suit notre personnage errant dans le désert du monde. « Through the Ashes » et « The Grand Expedition » constituent deux paliers distincts dans sa quête pour comprendre les tenants et aboutissants de la fin de l’Humanité. Ils sont en vérité une véritable descente aux enfers qui conduit peu à peu notre personnage vers la folie la plus pure et la plus irrécupérable.
Dans l’épilogue, « The Waste Land part 2 », le personnage principal fait le bilan de son voyage, de son histoire et décide de faire marche arrière, pour retourner s’étendre sur le lit d’hôpital sur lequel il s’est réveillé au début de l’aventure. On ne sait plus vraiment si la boucle est bouclée ou si son expédition a véritablement un jour commencé...


3. D’où vous est venue cette idée ? Avez-vous une vision aussi apocalyptique du futur et de la fin de l’humanité ?

Jonathan : L’élément déclencheur a été la lecture du roman The Road de Cormac McCarthy, sans compter que je voulais depuis un moment adapter The Waste Land de T.S. Eliot en musique. Après ces lectures, j’ai dû mater tout ce qu’il est humainement possible de voir en terme de films post-apocalyptiques… la liste serait trop longue à énumérer… je pense que c’est en partie pour ça que l’album a une dimension aussi visuelle et cinématographique, en plus d’être livresque et musicale. On rêverait aujourd’hui d’adapter notre album en une série de courts métrages d’animations ou autre… il s’y prête bien! Si Ruairi Robinson nous entend…
Pour ce qui est de la vision apocalyptique du futur et de la fin de l’humanité, chacun dans le groupe a son propre point de vue en fonction de ses croyances et convictions, mais disons qu’on s’accorde tous sur le fait que la vision exprimée sur l’album est du domaine du possible et du malheureusement réalisable. Après, tu auras certainement remarqué à la lecture des textes qu’il ne s’agit pas du tout de proses engagées ou polémistes quant au devenir de l’humanité. Le point de vue est poétique, onirique et métaphysique. La dimension esthétique et psychologique du personnage l’emporte sur la trame de fond.

4. A propos de a pochette ? Qui s’en est occupé ? Que représente-t-elle exactement ?

HORD : C’est le réalisateur de clips musicaux suédois, Jakob Arevarn, qui s’est chargé de l’artwork de The Waste Land. On a commencé à collaborer avec lui alors qu’on était en studio à Amsterdam, en août 2009, pour l’enregistrement du disque avec Jochem Jacobs (Textures). On l’avait alors contacté pour qu’il réalise l’intro vidéo de nos podcasts studio report, série de six documentaires relatant notre vie au studio. Ils sont visibles sur youtube.
Jakob s’est épris de l’histoire et du concept album et nous a proposé de réaliser l’artwork du disque en collaboration avec des amis artistes suédois. Contents du travail qu’il avait fourni pour les podcasts, on lui a donné carte blanche pour la réalisation de la pochette. John lui a fourni les textes et le concept général. Au fur et à mesure de l’avancée de l’enregistrement, on lui a envoyé les mises à plat, puis les premixs, les mixs et le master, pour qu’il puisse totalement s’imprégner de l’univers musical.
Jakob Arevarn s’est entouré de David Lundmark, qui a réalisé les clichés photographiques du personnage principal, incarné par David Sandberg, dans un hôpital désaffecté de Umea, en Suède, et de Par Oloffson pour les effets spéciaux (la ville dévastée derrière les vitres, etc.). Nous avons de notre côté confié la réalisation du logo et la finalisation de la pochette (incrustation des textes, etc.) à notre graphiste Colin Vauthier.
Sur le devant de la pochette, on peut voir le personnage dans une des pièces dévastées de l’hôpital, regardant par la fenêtre la ville fantôme. Tout le reste du livret est construit sur l’interprétation que Jakob a fait de l’histoire inventée par John : pour lui, le personnage principal n’a jamais quitté son lit d’hôpital et vit une expérience de mort imminente tout au long du disque. Il s’est saisi des ambiguïtés des textes pour proposer une deuxième lecture du conte dans laquelle tout se passe finalement à l’intérieur de l’hôpital et à l’intérieur même du personnage qui ne fait que partir en introspection au fil des chansons. Du coup, en tournant les pages, on ne fait finalement que voir le personnage sur son lit, dormant ou sursautant, entourés d’appareils médicaux, de seringues… Jakob Arevarn a transformé l’histoire d’une expédition à travers le monde dévasté en un huis-clos suffocant et maladif.

5. Les paroles sont très sombres et pessimistes, reprennent-elle en général les écrits de T.S. Eliot dont vous vous êtes inspirés ?

Jonathan : comme je te disais tout à l’heure, cela fait plusieurs années que j’avais envie de mettre en musique The Waste Land de T.S. Eliot. Laurent (ex-chanteur) ayant quitté le groupe en mai et nous devant entrer en studio en août, je n’avais décemment pas le temps de mener à bien un tel projet. Au départ, je voulais que 100% des paroles soit tirées du recueil, ce qui aurait nécessité une adaptation musicale complètement différente. Bref, j’ai abandonné l’idée pour finalement écrire une histoire originale mais en gardant tout de même sous le coude le recueil de T.S. Eliot qui m’a accompagné, comme The Road de Cormac McCarthy et d’autres livres, tout au long du processus de rédaction. Le titre de l’album reprend le titre du recueil The Waste Land ; certains titres de chansons correspondent à des titres de section du recueil de poèmes, à des vers ou bouts de vers : « The Waste Land part 1 & part 2 », « Unreal city », « A Heap of Broken Images », « The Burial of the Dead » ; enfin, comme mentionné dans le livret, il y a quelques montages de citations empruntées au poète et le titre « The Burial of the dead » est entièrement de la main d’Eliot.
Les paroles sombres et pessimistes, c’est quelque chose qui m’est tout à fait personnel. Rien à voir avec le recueil de T.S. Eliot qui n’est pas du tout un poème de désillusion et qui présente au contraire une certaine aspiration au salut.
Ce qui m’a intéressé dans le bouquin d’Eliot et ce que j’ai retenu pour l’écriture de l’album de HORD, c’est évidemment son symbolisme et son imagerie… mais par dessus tout, ce qui m’a inspiré, c’est cette idée de la permanence du passé dans le présent qui vient exercer une certaine pression sur le personnage principal. Tu remarqueras que tout au long de l’album, le narrateur/personnage est tiraillé par les images du passé qui viennent sans prévenir le chahuter jusqu’à lui faire perdre raison (« Subdued Voices » et « Through the ashes »).
Par ailleurs, c’est la technique d’écriture poétique d’Eliot qui m’a fasciné. Désolé, mais c’est mon côté étudiant/doctorant en lettres qui ressort, je me permets une petite citation qui devrait t’éclairer. C’est Eliot lui-même qui parle :

« Je crois que les éléments par lesquels la musique concerne le plus étroitement le poète sont le sens du rythme et de la structure… L’usage de thèmes récurrents est aussi naturel à la poésie qu’à la musique. Il y a des possibilités prosodiques qui présentent quelque analogie avec le développement d’un thème par divers groupes d’instruments ; il y a des possibilités de transitions dans un poème comparables aux différents mouvements d’une symphonie ou d’un quatuor ; il y a des possibilités d’arrangement contrapuntique ».

Ces mots nous ont guidé à chaque instant dans le processus d’écriture de la musique et des textes, puis dans l’effort de structuration de l’album en différentes parties. Rien n’a été laissé au hasard dans ce sens et tout obéit à une règle qu’on s’est fixé et qui dépasse la seule logique de l’histoire qui est contée.

6. Que vouliez vous nous montrer à travers l’imagerie présente dans le livret ?

HORD : on a déjà répondu en partie à cette question un peu plus haut. Comme on te disait, on a laissé carte blanche à Jakob Arevarn qu’on sait être un très bon lecteur et une personne douée d’une capacité d’analyse et d’interprétation hors du commun. Il n’y a qu’à regarder les clips qu’il fait pour se saisir un peu de son univers et de son esthétique.
Donc pour répondre à ta question, on va dire que l’imagerie du livret correspond à l’interprétation que Jakob a fait des paroles et de la musique : pour lui, c’est un voyage intérieur qu’il nous est donné de lire et d’entendre… pour lui, le personnage ne quitte jamais vraiment le lit d’hôpital sur lequel il se réveille au début de l’histoire. L’expédition n’est que pure fantasme et onirisme. Cette interprétation nous convient très bien, d’autant qu’il a quand même joué avec l’ambiguïté intérieur/extérieur avec la ville qu’on devine à travers les fenêtres, l’oeil de la terre dévastée et les textures très terrestres et organiques. C’est ça en fait… ce disque a quelque chose de très organique, c’est Jochem qui nous faisait remarquer ça pour nous expliquer les choix qu’il ferait dans le mix final. Tout est dans la relation du personnage en tant qu’être vivant avec la terre/Terre, elle-même pensée comme un être vivant. Relation d’organes à organisme…

7. Que pensez vous de la scène cyber metal en général ? Pensez vous vous-même en faire partie ?

HORD : ce qu’on pense de la scène cyber metal? Question difficile. Encore faut-il s’entendre sur ce que ça veut dire. Généralement, nous, on associe à ce style des groupes comme Fear Factory et Strapping Young Lad, plus récemment des formations comme Mnemic, Scar Symmetry, Sybreed, ou encore Raunchy, c’est-à-dire des groupes qui mélangent une forme moderne de thrash et d’indus, avec des guitares tranchantes aux rythmes hachés et pas mal de sons électroniques. Enfin c’est comme ça qu’on le voit. En plus de la musique, c’est un univers souvent marqué dans les textes ou les visuels par la science-fiction ou l’anticipation.
Cette mouvance et les groupes qui y sont affiliés nous ont beaucoup influencé à l’époque du premier album « Reborn from Chaos », peut-être un peu moins pour « The Waste Land », même si ça-et-là il y a des relents cyber dans les rythmiques ou dans le choix des beats ou sons indus. Quant aux textes, bien sûr, tu peux y voir des thèmes des romans d’anticipation ou des films post-apocalyptiques. En plus, tous les groupes que nous avons cité font toujours partie de nos références et des musiques qu’on écoute au quotidien. On est allé voir Sybreed, Raunchy et Threat Signal il n’y a pas plus tard que deux ou trois semaines à Lyon. C’était un peu la messe de Noël pour nous (rires). Quelle claque!
Enfin, de l’eau a coulé sous les ponts depuis le premier album et on s’est ouvert à d’autres styles de métal comme le djent, le math-métal et le prog, et à d’autres styles de musique en général. Donc franchement, on ne pense pas être à 100% lié à la vague cyber-metal. Il y a des affinités, certes, mais ce n’est pas non plus un credo ou un style dans lequel on s’enfermerait volontairement et exclusivement.
D’ailleurs, il n’y a qu’à écouter le mix de Jochem pour se rendre compte qu’on ne cherche pas du tout des sonorités cyber. Il l’a bien compris. Notre musique est organique, vivante, terrestre quoi, il n’est pas question de machines qui prendraient le contrôle de l’humanité ou d’une cyber-culture. Pas de science-fiction là dedans, juste l’histoire d’un gars qui déambule dans un monde où l’humain a totalement disparu autour de lui et en lui.


8. Quelles sont vos influences ?

HORD : on va parler de nos influences musicales du moment sinon on n’est pas couché et la liste risque d’être longue. En musique : Textures, Tesseract, Karnivool, After the Burial, Animals as Leaders, Meshuggah, Sikth, Periphery, Misery Signals, Threat Signal, Philip Glass, etc.


9. Comment s’est passé l’enregistrement ? Que vous a-t-il apporté ? A-t-il été différent de l’enregistrement effectué pour votre précédent opus ?

HORD : L’enregistrement de The Waste Land a été épique, dans tous les sens du terme. Si vous avez regardé nos podcasts sur youtube, vous avez dû vous en rendre compte… On s’est enfermé pendant 1 mois complet dans les tous nouveaux locaux du Split Second Sound Studio (Amsterdam), créé par Jochem Jacobs, Sander Boter et Bouke Visser. On campait là-bas 24h/24h et 7j/7j. C’était tout simplement énorme. Immersion totale dans le projet. Expérimentations en tous genres. On a bossé comme des fous avec celui qu’on surnomme dans le milieu : le « Général » . Mais on s’est bien marré avec toute l’équipe et on s’est accordé quelques plaisirs : un beau shooting photo avec Anthony Dubois et deux concerts de Textures!
Jochem nous a permis de travailler dans des conditions idéales et nous a accompagné à chaque instant dans le processus d’enregistrement. Il a su nous conseiller et nous guider pour qu’on donne notre maximum. Bosser avec lui nous a ouvert l’esprit sur énormément de choses musicalement, techniquement et humainement. C’est un grand professionnel et un sacré coach. Il arrivait tout le temps à tirer le meilleur parti de chacun d’entre nous, toujours dans la bonne humeur. Quand Jonathan est tombé malade, pendant les prises chants, il nous a prêté tout le matos nécessaire pour qu’on puisse finir en France, dans notre studio. C’est un sacré Monsieur! On l’a quitté fin août 2009 avec le coeur gros. Jonathan a fini les prises chants en France et on a continué à travailler sur les arrangements jusqu’en décembre. Jochem s’est ensuite attelé au mix puis au mastering. Malgré la distance, tout s’est passé dans la plus parfaite harmonie. On est super content du résultat. C’était une super expérience, comme celle qu’on a vécu avec Patrick Liotard pour la production du premier album. On a eu de la chance de tomber sur des gens super professionnels et qui ont su nous tirer vers le haut.

10. Êtes vous satisfaits du résultat ?

HORD : En un mot (pour une fois) : GRAVE!

11. Avez-vous des projets à venir ?

HORD : Bien sûr. Des tas de projets même. Un projet de clip avec Jakob Arevarn, en Suède, pour commencer. On est en train d’essayer de réunir les fonds nécessaires.
Un projet de tournée en France et peut-être à l’étranger. Tout cela est en cours de mise en place. D’ailleurs on en profite pour lancer un appel aux organisateurs et aux groupes : on est frais et dispo! C’est quand vous voulez! L’objectif principal pour nous est de nous consacrer à la promotion de ce disque qui, on le rappelle, est entièrement autoproduit et autodistribué par nous.
Sinon, on est déjà en train d’écrire la suite de The Waste Land… enfin, pas vraiment la suite mais l’avant, bref… on planche déjà sur l’écriture du nouvel album et on attendra pas 4 ans cette fois pour sortir le nouveau disque.

12. Le mot de la fin :

HORD : tu auras remarqué qu’on est un petit peu bavard… un mot ça va être dur. Si les lecteurs ont eu le courage d’aller jusque là, voici quelques mots de conclusion et surtout quelques infos :

Comme on vous le disait, The Waste Land est totalement autoproduit et autodistribué par HORD. Donc, vous pouvez vous procurer l'album dans sa version digipack deluxe edition sur le merch store (facebook) du groupe, pour la modique somme de 12 euros, ou sur les sites de téléchargement légal (itunes store, amazonmp3, Ilike, etc.). Venez pouvez d’ailleurs écouter The Waste Land en streaming gratuit en cliquant sur les liens ci-dessous:

Facebook http://www.facebook.com/hordband
ReverbNation http://www.reverbnation.com/hord
Myspace http://www.myspace.com/hordofficial

Sinon, notre titre "Through the ashes" est présent sur la nouvelle compilation FRENCH METAL : "Le choix des armes". "Epidemic" sera sur la nouvelle compilation US "Streetcult Streetteams Loud Music Compilation Volume 16" avec Kingdom of Sorrow et Scum of the Earth.
Enfin, on sera en concert le 20 janvier 2010 avec Ananta et Weaksaw à Montpellier, Université Paul-Valéry, et bientôt dans toute la France!! Restez à l’écoute et n’hésitez pas à nous rejoindre sur les réseaux sociaux pour être tenu informé des news!

Merci!

   

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