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PIN-UP WENT DOWN
CHRONIQUE PIN-UP WENT DOWN - review
Contact groupe http://www.myspace.com/pinupwentdown
Audio / Video
Mise en ligne le : 16 juillet 2010  | Intervieweur : Bodomania | Traducteur :

INTERVIEW francaise - pavillon 666 - webzine metal rock

1. Bonjour PIN-UP WENT DOWN, et merci de nous accorder un peu de temps!



Comment allez-vous depuis la finalisation de ce nouvel album?
Alexis : Bonjour ! Nous allons bien, merci ! Le disque est en pleine sortie, c’est toujours un bon moment ! Nous espérons qu’il apportera matière à discuter, à s’éclater, peut être se battre…


2. Pour les lecteurs de Pavillon qui ne vous connaissent pas encore, une petite présentation s'impose... Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vos différentes expériences musicales?



Nous venons tous les trois d’horizons très différents. Asphodel a chanté dans Penumbra et plusieurs projets expérimentaux. Mon frère Nicolas serait plutôt du genre Zarathoustra, dans une grotte, une barbe, et un bignou, quant à moi on m’a connu derrière les fûts en live avec Carnival in Coal, notamment.


3. Quels sont les groupes, les musiciens ou les "univers" les plus marquants pour vous?



Vaste sujet ! En ce moment j’écoute Sleepy time Gorilla museum par exemple. Un groupe qui sait créer une atmosphère. Entre le féérique et cauchemardesque. J’écoute le dernier Soilwork, surtout pour l’efficacité de sa production. J’écoute toujours le dernier Metallica, des classiques…et puis un tas d’autres genres, de Stevie Wonder à Jamiroquaï en passant par Bjork…
Nicolas : j’ai été formé à la vieille école (Metallica, Judas Priest, Iron Maiden), mais j’écoute plus volontiers du classique maintenant et un peu de jazz des  années 30.
Qu'est-ce qui vous a donné envie de faire de la musique à votre tour? Et qu'est-ce qui vous motive encore aujourd'hui ?
Alexis : Certains enfants autour de moi étaient excités par le foot ou les chevaliers du Zodiac. Moi c’était les breaks de Nicko Mc Brain et les coups de baguette de lars Ulrich. J’ai commencé à écouter du metal à l’âge de 3 ans.  C’était devenu une sorte de puissance en moi, une force motrice.
Aujourd’hui je vois ma musique comme un artisanat. J’ai envie de créer une œuvre de plusieurs albums, une palette de sons, aux goûts tous différents. J’ai toujours envie de faire mieux à chaque album. Une sorte de quête du graal.
Nicolas : j’ai toujours eu besoin de faire de la musique, ne serait-ce que dans ma tête .Mais, c’est tout de même mieux d’en faire profiter les autres. Voir l’enthousiasme des fans est très motivant.


4. Quelles aspirations vous ont guidé à la création de PUWD?



Alexis : J’ai voulu faire sortir de ma tête un tas de visions, tout simplement.
 
5. Votre premier album a été une grande révélation pour beaucoup. Avec du recul, en êtes-vous pleinement satisfait ?



Alexis : Une grande révélation ? A ce point ! Ah ah ah, serions-nous des gourous sans le savoir ? Je suis très heureux si ce disque a apporté de la joie dans les foyers ! Passer « Esthete Piggie » doit effectivement changer l’ambiance d’un repas ! Serieusement, on m’a dit que PUWD plaisait pas mal aux enfants. C’est peut etre ce côté décomplexé qui donne un côté « rigolo » pour les petits…Avec le recul, je trouve que pour un premier album, ce n’est pas si mal, artistiquement.
Nicolas : pouvoir encore surprendre est déjà en soi une satisfaction.
 
6. "Three Fo(u)r Two" annonce la venue d'un nouveau membre. Comment est venue l'idée de ce trio? Le rôle de chacun s'est établit naturellement?



Alexis : Mon frère et moi faisons de la musique ensemble depuis vingt ans, par intermitence. Si j’ai commencé le projet plus ou moins seul, il était naturel que mon frère fasse son « come-back » à mes côtés. C’est tellement bon la fratrie pour composer. On joue franc-jeu.
Nicolas : chacun a ses compétences, nous sommes complémentaires.



7. Votre deuxième album sort tout juste. Comment s'est déroulée la phase de composition et d'écriture tout d'abord? Et qu'est-ce qui vous inspire d'une manière générale?



Alexis : Nous sommes partis d’idées non-exploitées sur le premier album. Puis nous avons tenté de nouvelles. Pour « home  » par exemple, nous avions l’idée d’utiliser un principe purement harmonique, la gamme par ton.
Asphodel a mis la main à la patte en proposant « Escargot » et « Vaginaal Nathrak », nous avons en bref tenté d’aller ailleurs que sur « 2 unlimited », ça me semble essentiel de ne pas proposer é fois le même album. En général, je suis très sensible au groove particulier d’un morceau, et à certaines couleurs harmoniques, comme la fin d’ « Essence of I » qui a été clairement composée comme une envolée vers le soleil…  « Pictures to Speak to » a été composé comme l’illustration de sentiments humains, « Murphy… » comme une illustration de la folie…etc
Mais c’est Asphodel qui par ses textes, donne sens à la musique  et fige le morceau.
Nicolas : dans « home » par exemple, je suis parti d’un thème et j’ai essayé de le développer. J’aime bien l’idée que la musique puisse raconter une histoire.
 
 
 
8. Votre musique est très difficile à décrire, je dirais même qu'elle est inclassable. Chaque titre étant aussi différent et varié que le précédent, pouvez-vous quand même nous en parler en quelques mots?



Alexis : Je pense que d’ici quelques albums, ce style sera intégré. La vérité est que nous serions à classer dans l’alternatif. Au sens où le metal fait partie de notre son, tout autant que le post-rock ou la chanson. Nous proposons  des « chansons »,  au sens « chantable », ce qui est different d’un groupe de metal pur et dur, comme un groupe de death. Ce côté mélodique est, je crois, notre marque de fabrique. L’arrangement m’est finalement égal, tant qu’on n’abandonne pas la puissance.
 
Nicolas : chaque morceau est une histoire, une tranche de vie. « 342 » est plus « coloré » d’un point de vue harmonique que « 2unlimited ».
 
9. À l'écoute de ce nouvel album, on ressent une grande implication de chacun et une vraie complémentarité entre vous trois. La distance qui vous sépare ne vous a pas posé de problème?



Alexis: Ce n’est parfois pas facile, en effet. Mais il faut savoir avancer malgré les obstacles. Nous sommes tous les trois investis car chacun peut s’exprimer, tout simplement. (enfin c’est ce que je leur fait croire évidemment…^^mais chuuuut)
Nicolas : l’éloignement géographique est un avantage dans le sens où nous avons un recul sur ce que nous faisons.  Cela nous oblige à donner le meilleur.
 
 
10. Andy Schmidt de DISILLUSION apporte aussi son grain de folie sur "Vaginaal Nathrak".
Comment en êtes-vous venu à travailler ensemble?



Alexis : Asphodel se trouve être une grande fan de Disillusion, elle a voulu réaliser un rêve. Il faut dire que ce groupe propose une musique si complexe et personnelle, c’est hallucinant ! Nous espérons avoir d’autres surprises sur le prochain album ! Nous devions avoir le chanteur de pain of salvation, ça se fera, c’est juste une histoire d’emploi du temps.



11. Vocalement et instrumentalement parlant, votre maîtrise est assez impressionnante.
Avez-vous ressenti une évolution personnelle? Et auriez-vous quelques conseils techniques à prodiguer ou bien une recette magique?



O que non ! Nous avons de multiples défauts et carences. La musique se travailler toute sa vie, nous essayons de progresser. La seule chose que je peux affirmer , c’est que seule l’écoute et la compréhension profonde du jeu des autres permet de libérer ton mojo.^^
Nicolas : une recette magique ? Il faut rester soi-même.
 
12. La réalisation de ce nouvel album a donc été effectuée par vos soins. Comment s'est passé l'enregistrement? Quels sont les secrets de fabrication?



Alexis: Tu prends un jack. Quelques gigas. Un bon PC, bien gras et juteux, provenant du pays des canards laqués, une guitare, si possible bien réglée par son luthier chéri (Mainemarre lutherie rouen, ce sont les meilleurs), de bons préamplis à lampe capables de griller tes toasts en quelques secondes, et surtout, surtout, couper son téléphone portable.



13. Des concerts de prévu pour la sortie de "342"? Ou des projets respectifs?



Pour le moment le groupe se consacre à l’écriture et à la méditation.



14. Avez-vous déjà des idées concernant le prochain album? Des choses que vous aimeriez tenter?



Oui bien sûr, j’aimerais créer un morceau hystérique, entre Mars volta et Dilliger Escape Plan, et un morceau hommage à Peter Steele, avec la voix de Gilles Gropaquet, mùais sérieusement, tu vois. Sinon, une reprise d’un classique St Saëns, mais à la voix. Ainsi qu’une chorale de grunts. Mais tu sais, tout ça n’arrivera surement pas.
 
Nicolas : C'est en essayant encore et encore que le singe apprend à bondir. Je pense qu’on va continuer à expérimenter…
 
15. Enfin, une dernière question assez large, mais, quel est votre meilleur et votre pire souvenir ou expérience musical(e)?



Alexis: Jouer au brutal assaut à Prague avec CinC. C’était très excitant, je me rappelle avoir mis une correction à ma caisse claire ce jour là ! XD
La pire, ça doit être cette fameuse fois où j’ai joué de la caisse claire sous la pluie pour un défilé du 14 juillet…en jouant la marseillaise à vue.
 
16. Merci d'avoir répondu à toutes ces question et longue route à vous!



Je vous laisse à présent le mot de la fin...
Merci les gens. On a besoin de vous, plus que jamais ! Il faut soutenir les groupes français. (et nous en particulier ^^). Biz de toute l’équipe.











 


 


1. Bonjour PIN-UP WENT DOWN, et merci de nous accorder un peu de temps!


Comment allez-vous depuis la finalisation de ce nouvel album?


Alexis : Bonjour ! Nous allons bien, merci ! Le disque est en pleine sortie, c’est toujours un bon moment ! Nous espérons qu’il apportera matière à discuter, à s’éclater, peut être se battre…


2. Pour les lecteurs de Pavillon qui ne vous connaissent pas encore, une petite présentation s'impose... Pouvez-vous nous en dire un peu plus sur vos différentes expériences musicales?


Nous venons tous les trois d’horizons très différents. Asphodel a chanté dans Penumbra et plusieurs projets expérimentaux. Mon frère Nicolas serait plutôt du genre Zarathoustra, dans une grotte, une barbe, et un bignou, quant à moi on m’a connu derrière les fûts en live avec Carnival in Coal, notamment.


3. Quels sont les groupes, les musiciens ou les "univers" les plus marquants pour vous?


Vaste sujet ! En ce moment j’écoute Sleepy time Gorilla museum par exemple. Un groupe qui sait créer une atmosphère. Entre le féérique et cauchemardesque. J’écoute le dernier Soilwork, surtout pour l’efficacité de sa production. J’écoute toujours le dernier Metallica, des classiques…et puis un tas d’autres genres, de Stevie Wonder à Jamiroquaï en passant par Bjork…


Nicolas : j’ai été formé à la vieille école (Metallica, Judas Priest, Iron Maiden), mais j’écoute plus volontiers du classique maintenant et un peu de jazz des  années 30.


Qu'est-ce qui vous a donné envie de faire de la musique à votre tour? Et qu'est-ce qui vous motive encore aujourd'hui ?


Alexis : Certains enfants autour de moi étaient excités par le foot ou les chevaliers du Zodiac. Moi c’était les breaks de Nicko Mc Brain et les coups de baguette de lars Ulrich. J’ai commencé à écouter du metal à l’âge de 3 ans.  C’était devenu une sorte de puissance en moi, une force motrice.


Aujourd’hui je vois ma musique comme un artisanat. J’ai envie de créer une œuvre de plusieurs albums, une palette de sons, aux goûts tous différents. J’ai toujours envie de faire mieux à chaque album. Une sorte de quête du graal.


Nicolas : j’ai toujours eu besoin de faire de la musique, ne serait-ce que dans ma tête .Mais, c’est tout de même mieux d’en faire profiter les autres. Voir l’enthousiasme des fans est très motivant.


4. Quelles aspirations vous ont guidé à la création de PUWD?


Alexis : J’ai voulu faire sortir de ma tête un tas de visions, tout simplement.


 


5. Votre premier album a été une grande révélation pour beaucoup. Avec du recul, en êtes-vous pleinement satisfait ?


Alexis : Une grande révélation ? A ce point ! Ah ah ah, serions-nous des gourous sans le savoir ? Je suis très heureux si ce disque a apporté de la joie dans les foyers ! Passer « Esthete Piggie » doit effectivement changer l’ambiance d’un repas ! Serieusement, on m’a dit que PUWD plaisait pas mal aux enfants. C’est peut etre ce côté décomplexé qui donne un côté « rigolo » pour les petits…Avec le recul, je trouve que pour un premier album, ce n’est pas si mal, artistiquement.


Nicolas : pouvoir encore surprendre est déjà en soi une satisfaction.


 


6. "Three Fo(u)r Two" annonce la venue d'un nouveau membre. Comment est venue l'idée de ce trio? Le rôle de chacun s'est établit naturellement?


Alexis : Mon frère et moi faisons de la musique ensemble depuis vingt ans, par intermitence. Si j’ai commencé le projet plus ou moins seul, il était naturel que mon frère fasse son « come-back » à mes côtés. C’est tellement bon la fratrie pour composer. On joue franc-jeu.


Nicolas : chacun a ses compétences, nous sommes complémentaires.


7. Votre deuxième album sort tout juste. Comment s'est déroulée la phase de composition et d'écriture tout d'abord? Et qu'est-ce qui vous inspire d'une manière générale?


Alexis : Nous sommes partis d’idées non-exploitées sur le premier album. Puis nous avons tenté de nouvelles. Pour « home  » par exemple, nous avions l’idée d’utiliser un principe purement harmonique, la gamme par ton.


Asphodel a mis la main à la patte en proposant « Escargot » et « Vaginaal Nathrak », nous avons en bref tenté d’aller ailleurs que sur « 2 unlimited », ça me semble essentiel de ne pas proposer é fois le même album. En général, je suis très sensible au groove particulier d’un morceau, et à certaines couleurs harmoniques, comme la fin d’ « Essence of I » qui a été clairement composée comme une envolée vers le soleil…  « Pictures to Speak to » a été composé comme l’illustration de sentiments humains, « Murphy… » comme une illustration de la folie…etc


Mais c’est Asphodel qui par ses textes, donne sens à la musique  et fige le morceau.


Nicolas : dans « home » par exemple, je suis parti d’un thème et j’ai essayé de le développer. J’aime bien l’idée que la musique puisse raconter une histoire.


 


 


 


8. Votre musique est très difficile à décrire, je dirais même qu'elle est inclassable. Chaque titre étant aussi différent et varié que le précédent, pouvez-vous quand même nous en parler en quelques mots?


Alexis : Je pense que d’ici quelques albums, ce style sera intégré. La vérité est que nous serions à classer dans l’alternatif. Au sens où le metal fait partie de notre son, tout autant que le post-rock ou la chanson. Nous proposons  des « chansons »,  au sens « chantable », ce qui est different d’un groupe de metal pur et dur, comme un groupe de death. Ce côté mélodique est, je crois, notre marque de fabrique. L’arrangement m’est finalement égal, tant qu’on n’abandonne pas la puissance.


 


Nicolas : chaque morceau est une histoire, une tranche de vie. « 342 » est plus « coloré » d’un point de vue harmonique que « 2unlimited ».


 


9. À l'écoute de ce nouvel album, on ressent une grande implication de chacun et une vraie complémentarité entre vous trois. La distance qui vous sépare ne vous a pas posé de problème?


Alexis: Ce n’est parfois pas facile, en effet. Mais il faut savoir avancer malgré les obstacles. Nous sommes tous les trois investis car chacun peut s’exprimer, tout simplement. (enfin c’est ce que je leur fait croire évidemment…^^mais chuuuut)


Nicolas : l’éloignement géographique est un avantage dans le sens où nous avons un recul sur ce que nous faisons.  Cela nous oblige à donner le meilleur.


 


 


10. Andy Schmidt de DISILLUSION apporte aussi son grain de folie sur "Vaginaal Nathrak".


Comment en êtes-vous venu à travailler ensemble?


Alexis : Asphodel se trouve être une grande fan de Disillusion, elle a voulu réaliser un rêve. Il faut dire que ce groupe propose une musique si complexe et personnelle, c’est hallucinant ! Nous espérons avoir d’autres surprises sur le prochain album ! Nous devions avoir le chanteur de pain of salvation, ça se fera, c’est juste une histoire d’emploi du temps.


11. Vocalement et instrumentalement parlant, votre maîtrise est assez impressionnante.


Avez-vous ressenti une évolution personnelle? Et auriez-vous quelques conseils techniques à prodiguer ou bien une recette magique?


O que non ! Nous avons de multiples défauts et carences. La musique se travailler toute sa vie, nous essayons de progresser. La seule chose que je peux affirmer , c’est que seule l’écoute et la compréhension profonde du jeu des autres permet de libérer ton mojo.^^


Nicolas : une recette magique ? Il faut rester soi-même.


 


12. La réalisation de ce nouvel album a donc été effectuée par vos soins. Comment s'est passé l'enregistrement? Quels sont les secrets de fabrication?


Alexis: Tu prends un jack. Quelques gigas. Un bon PC, bien gras et juteux, provenant du pays des canards laqués, une guitare, si possible bien réglée par son luthier chéri (Mainemarre lutherie rouen, ce sont les meilleurs), de bons préamplis à lampe capables de griller tes toasts en quelques secondes, et surtout, surtout, couper son téléphone portable.


13. Des concerts de prévu pour la sortie de "342"? Ou des projets respectifs?


Pour le moment le groupe se consacre à l’écriture et à la méditation.


14. Avez-vous déjà des idées concernant le prochain album? Des choses que vous aimeriez tenter?


Oui bien sûr, j’aimerais créer un morceau hystérique, entre Mars volta et Dilliger Escape Plan, et un morceau hommage à Peter Steele, avec la voix de Gilles Gropaquet, mùais sérieusement, tu vois. Sinon, une reprise d’un classique St Saëns, mais à la voix. Ainsi qu’une chorale de grunts. Mais tu sais, tout ça n’arrivera surement pas.


 


Nicolas : C'est en essayant encore et encore que le singe apprend à bondir. Je pense qu’on va continuer à expérimenter…


 


15. Enfin, une dernière question assez large, mais, quel est votre meilleur et votre pire souvenir ou expérience musical(e)?


Alexis: Jouer au brutal assaut à Prague avec CinC. C’était très excitant, je me rappelle avoir mis une correction à ma caisse claire ce jour là ! XD


La pire, ça doit être cette fameuse fois où j’ai joué de la caisse claire sous la pluie pour un défilé du 14 juillet…en jouant la marseillaise à vue.


 


16. Merci d'avoir répondu à toutes ces question et longue route à vous!


Je vous laisse à présent le mot de la fin...


Merci les gens. On a besoin de vous, plus que jamais ! Il faut soutenir les groupes français. (et nous en particulier ^^). Biz de toute l’équipe.


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 


 




   

original INTERVIEW - pavillon 666 - webzine metal rock



 




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