NOISS |
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Audio / Video | |||
Mise en ligne le : 27 septembre 2020 | Intervieweur :
Black.Roger
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01-Bonjour NOISS, une petite présentation du groupe serait la bienvenue pour tous ceux qui ne vous connaissent pas encore. Bonjour à tous. Nous sommes le groupe Noiss (et ça se prononce « no-i-ce »… pas « noâss »)… Nous sommes originaires de Chambéry (en France, en Savoie). On évolue dans une formation classique : basse-batterie-guitare (et chant) et elle est constituée autour de Thomas (guitare/chant), Julien (basse) et David (batterie). 02-Après avoir chroniqué votre second EP intitulé "deafening EP, je me pose la question suivante : pourquoi 2 Eps de suite, un album complet serait pourtant le bienvenu ! A notre niveau de musiciens, nous avons du mal à comprendre l’intérêt de produire un album… Coté public, qui consomme encore de la musique de cette manière ? Et en ce qui concerne les producteurs, qui se lance dans des prods de formats dont le retour sur investissement est hasardeux ? En fait, quel serait le but d’enregistrer un album ? Pour se faire plaisir ? Ou pour répondre à des standards ? Pour ce qui est de se faire plaisir, un EP, c’est bien. Les 4 ou 5 chansons, si elles tiennent la route, on s’est rendu compte avec le premier EP qu’on était en mesure d’en faire la promo pendant 2 ans, simplement avec nos outils et notre réseau. Ça, on sait faire. C’est à notre portée. Après, c’est bien aussi de fixer quelques objectifs pour avancer, faire progresser notre vision/connaissances des choses. Il faut aussi rencontrer/travailler avec les bonnes personnes. A mon sens, un projet d’album ne pourra se faire que sous l’impulsion d’une personne autre que nous. On comprend – même après 2 EP - qu’il y a des logiques d’organisation (opérations de presse, communication, avoir un réseau de distribution physique, les licences et les droits qui vont avec…) OK ce serait un chouette projet mais la mise en œuvre d’une sortie d’album ne se limitera pas simplement à enregistrer des chansons et à se dire « On l’a fait ! » (maintenant on peut splitter ! - rires). Il faudrait qu’on soit accompagné d’un label/management assez structuré (et compréhensif, et encore mieux : en phase avec notre musique) pour se lancer là-dedans… Et puis… Il faut aussi que ça réponde à une demande, et je ne sais pas si jouer du punk rock/métal ce soit le truc le plus attendu du moment ? Tout est à faire ! 03-Quelles ont été vos influences principales au départ de l'aventure ? 04-Vous vous affichez "trio grunge", mais le punk est bien là en embuscade alors comment définissez-vous exactement votre musique? **on peut mettre les 2 questions ensemble** Julien m’avait contacté (Thomas) pour faire quelque chose de « stoner ». Moi dans ma tête, j’ai dû comprendre « quelque chose de heavy-mais-pas-trop ». Et puis il fallait un batteur pour compléter le projet et David a répondu présent. Au bout de quelques répets, échanges de vannes, jaugeage technique et premières prises de contact, on a pondu les chansons « Neuroïne » (du heavy-mais-pas-trop, mais pour moi, plus stoner tu meurs |
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interview detail 2015