SWEET AND LYNCH
Only to rise [ 2015 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 47.32
Style : Hard-Rock mélodique
  Infos :
  Contact label : http://www.frontiers.it/news/10645/
  Contact groupe : https://www.facebook.com/SweetLynch?ref=br_rs http://
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 08 février 2015 , réalisée par riffraph
   
SWEET & LYNCH
Only to Rise
Date de sortie : 27 janvier 2015

Line-Up :

Michael Sweet – chant-guitares
George Lynch – Guitares
James Lomenzo – Basse
Brian Tichy – Batterie

Track List :

1.The Wish
2. Like A Dying Rose
3. Love Stays
4. Time Will Tell
5. Rescue Me
6. Me Without You
7. Recover
8. Divine
9. September
10. Strength In Numbers
11. Hero-Zero
12. Only To Rise

Voici donc, avant toute chose, les musiciens qui composent ce projet : Michael Sweet (Stryper) George Lynch (Dokken, Lynch Mob), James Lomenzo (Megadeth, White Lion), Brian Tichy (Whitesnake, Ozzy Osbourne).
Bref, autant dire qu’il y a du lourd côté casting. N’étant pas forcément adepte de projets souvent sans suite, je dois avouer avoir été néanmoins séduit par la qualité de cet opus. L’alchimie fonctionne parfaitement entre Sweet et Lynch. Dès le premier titre « The Wish » on sait que l’on va se diriger vers du bon vieux hard-rock mélodique. Le chanteur de Stryper a gardé toutes ses qualités vocales et George est toujours aussi bon à la guitare, avec sa touche bluesy. Il y a quelques titres accrocheurs comme « Only to Rise » et « Time Will Tell » ou « Recover » et deux petites ballades « Love Stays » et «Me Without You » qui feront, j’en suis sûr plaisir aux dames. Mais - car il y aura un mais - dans le genre, il y a indéniablement mieux dans la concurrence comme le dernier album du groupe « Maxxwell-Tabula Rasa ». Même si je dois saluer de nouveau la qualité de ces musiciens et de leurs compositions, on aurait aimé un peu plus d’originalité. Une prise de risque qui a peut-être fait peur à nos protagonistes, voulant satisfaire, sans doute, les fans du style.
Néanmoins cela reste plaisant à écouter, bien que l’ensemble laisse un goût d’inachevé en bouche.
Un classique du genre honnête donc, sans plus.








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