THE AGONIST Eye of providence [ 2015 ] |
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CD Album Durée : 58.33 Style : Metal |
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Infos : | ||||
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Chronique : 30 janvier 2015 , réalisée par riffraph | ||||
THE AGONIST Eye Of Providence Date de sortie : 23 février 2015 Line-Up : Vicky Psarakis - Vocals Danny Marino - Guitar Chris Kells - Bass Simon McKay - Drums Pascal "Paco" Jobin - Guitar Track List : 01. Gates Of Horn And Ivory 02. My Witness, Your Victim 03. Danse Macabre 04. I Endeavor 05. Faceless Messenger 06. Perpetual Notion 07. A Necessary Evil 08. Architects Hallucinate 09. Disconnect Me 10. The Perfect Embodiment 11. A Gentle Disease 12. Follow The Crossed Line 13. As Above, So Below Il existe parfois des albums qui méritent une attention particulière et des écoutes répétées afin d’en saisir toutes les nuances et ramifications musicales. Ce dernier opus sera, je vous le dis déjà, dans mon top five de l’année 2015. 58 minutes et 33 secondes de bonheur, le genre de galette qui fait le plaisir d’être chroniqueur. De plus cela n’était pas forcément gagné suite aux conditions de départ de la chanteuse devenue célèbre aujourd’hui dans Arch Enemy, je nomme évidemment Alissa White-Gluz. Après cette séparation à froid, le groupe s’est donc mis en quête d’une nouvelle vocaliste et le choix s’est porté sur la charmante Vicky Psarakis, d’origine grecque, repérée sur you tube pour ses interprétations très personnelles de cover de groupes comme Iron Maiden, Nevermore, Nightwish etc…Et là je dois dire : Banco ! Cette jeune demoiselle est d’une affligeante facilité dans tous les registres vocaux. A l’aise dans le chant growlé, clair et lyrique, bref autant dire qu’ils ont tiré le bon numéro ! Car Vicky n’est pas Alissa. Je lui trouve d’ailleurs plus de finesse dans ses interprétations. Pourquoi m’appesantir sur le sujet me diriez-vous ? Et bien il se trouve - selon les dires des membres de la formation – qu’elle a participé grandement à la composition de l’album, apportant sa fraîcheur et son culot. On alterne d’ailleurs entre puissance, mélodies, passages plus calmes et introvertis. Le thème de l’album, dont la pochette reflète un peu le sujet, nous parle de cette technologie mal exploitée. Par exemple de cette toile internet 2.0 qui nous éloigne plus les uns des autres qu’il ne nous rapproche…Comme quoi dans le metal, preuve il en est, qu’on sait lancer des sujets qui méritent réflexions… Un recentrage donc sur l’humain, accompagné de compositions léchées, aux riffs incisifs, aux basses inspirées et harmonies bien pensées. La rythmique est variée et d’une construction intelligente. Une fois n’est pas coutume, je ne vous ferai pas le détail de la track-list. Non pas par effet pervers ou sadique, mais parce que cet écrin se découvre et s’apprécie dans le temps de façon personnelle. Je m’estime donc chanceux de pouvoir découvrir cette création avant sa sortie et d’en être le premier chroniqueur de l’hexagone. A condition d'aimer le genre bien sûr...les autres passez votre chemin ou ouvrez donc votre esprit, qui sait..? The Agonist vient de nous sortir son « Black Album ». Ne passez pas à côté ! |
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