DEPTHS OF MADNESS Depths of madness [ 2013 ] |
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CD Album Durée : 44:60 Style : Heavy/thrash |
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Chronique : 15 octobre 2014 , réalisée par riffraph | ||||
DEPTHS OF MADNESS Chant : Mathias LEMEE Guitare/chant : Alexandre COLSON Guitare : Alexandre SORET Basse : Frédéric BOISSIERE Batterie : Clément ROUYER Titres : Beyond Ghost of Suffering Elements Depths of Madness My Last Memory Destroying Land Kill with Pride The Payday Satan Cette formation dijonnaise composée aujourd’hui d’un line-up de cinq membres nous propose cette galette de 9 titres parue en 2013 (enfin 8 puisque Beyond est une introduction instrumentale). Sur leur site Facebook on peut lire que le groupe est résolument tourné vers le heavy métal …mais pas seulement… En effet, à l’écoute des titres ”Ghost of suffering”,” Destroying land” ou “Kill with pride”, je rangerais plus ces morceaux dans le thrash, speed métal avec une voix haute et claire. Un mélange intéressant pour ces compos notamment pour « Kill with pride » ou parfois j’ai l’impression d’entendre « Geoff Tate » de « Queensrÿche », enfin à l’époque où ce dernier avait encore une voix… « My last memory » est un morceau un peu à part. Plus expérimental, progressif et sombre avec des intonations orientales dans la partie solo, ce qui n’est pas pour déplaire. Tous les autres titres, « Elements », « Depths of Madness », « the payday » et « Satan » fleurent bon le heavy des années 80, avec par exemple des influences entre Maiden, Judas Priest et Helloween. Les parties basse/guitares sont bien travaillées, les rythmiques et solos intelligemment pensés. Les chœurs donnent par moment plus de profondeur au chant de qualité de Mathias, le tout sur une partie batterie maîtrisée et efficace. A noter que ce combo a déjà été en guest pour des groupes comme « Holy Cross », « Hurlement » ou « Walking Dead Orchestra ». Ils se sont payé aussi le luxe de se produire à l’ouverture du Rising Fest 2 en 2012 où jouaient également les allemands de « Wizard ». Bien que l’enregistrement soit autoproduit, le mixage est correct même si parfois on ressent le manque de profondeur et de clarté dans le son. Ce premier opus est de bonne facture et donne envie de headbanguer avec ou sans cheveux. Depths of Madness ravira à coup sûr les fans des vestes à patchs et tous celles et ceux qui aiment redécouvrir le genre. |
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