IBRIDOMA
Goodbye nation [ 2014 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 37.54
Style : Heavy metal
  Infos :
  Contact label : http://www.sgrecords.it
  Contact groupe : http://www.ibridoma.com http://www.reverbnation.com/ibridoma
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
Pavillon 666 - metal rock webzine
TECHNIQUE
Pavillon 666 - metal rock webzine
PRODUCTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
EMOTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
  Chronique : 11 juin 2014 , réalisée par Ivan.Jack
   
Goodbye Nation est le troisième album de ces jeunes metalleux italiens, j'avais déjà chroniqué leur précédent opus et émis un bon avis instrumental (j'étais plus réservé sur le chant), en espérant que les gaillards prennent un peu leur propre envol en oubliant toutes leurs influences pour créer leur propre style.


C'est malheureusement raté... Malgré une production excellente, surtout au niveau basse-batterie et guitares, on sent une omniprésence heavy-thrash américaine indéniable, si bien qu'on a parfois l'impression d'entendre des inédits d'Annihilator et de Megadeth, voire même Metal Church. (« City of Madness », « Land of illusion » sont du Jeff Waters tout craché !)..


Oui, mais voilà, les gars jouent bien, très bien même, mais sans aucune nouveauté, ils n'inventent rien et leur chansons sont, je suis désolé de le dire une fois de plus, totalement gâchées par ce chanteur toujours « limite », voire désagréable à la longue, (« Anja », « You are a liar »), au timbre si nasillard à la Brian Molko de Placebo, mais en pire... et carrément faux par moment, surtout en acoustique (« Arcobaleno »). Il s'en sort un peu mieux lorsqu'il force sa voix jusqu'à être éraillé (« My dying queen » en est un exemple, mais c'est hélas le seul..)

Ajoutez à ça des manières de chanter agaçantes, comme s'il forçait ce timbre déjà si particulier, des soli bien moins inspirés que les riffs tranchants, et des paroles complètement bidon, ce troisième album tombe à l'eau...


Dommage, l'interprétation est là, les compos sont vraiment bien senties, ... mais ça ne casse pas trois pattes à un canard, comme on dit chez moi....







AUTRES CHRONIQUES DU MEME GROUPE
IBRIDOMA - Night club IBRIDOMA - December IBRIDOMA - City of ruins