DEADLOCK
The arsonist [ 2013 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : NC
Style : Death mélodique
  Infos :
  Contact label : http://shop.napalmrecords.com/
  Contact groupe : http://www.deadlock-official.com/ https://play.spotify.com/artist/5rKi8nP7CfFcbjz3DpA9Yx
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 22 août 2013 , réalisée par daills
   
Avec ce sixième album, DEADLOCK nous promet du changement, avec tout d’abord un nouveau line-up mais plus globalement un nouveau chapitre dans la vie du groupe, chapitre plus ‘électrique’ et ‘passionnant’.
Bon, on connait le refrain ; à chaque nouvelle sortie d’album, tout groupe défend son bébé comme étant le plus merveilleux. Il nous faut donc vérifier en détail si ce ‘The Arsonist’ tient bien ses promesses de renouveau.

Tout d’abord, en terme de production, DEADLOCK n’a pas menti et nous offre un bon gros son bien moderne, avec les avantages des sons ‘actuels’ (la puissance notamment) et ses défauts (principalement le manque de nuances).
La dominante de cet album est un death mélodique, à l’instar de ‘The Final Storm’ qui est un pur morceau dans la lignée de groupes tels IN FLAMES ou DARK TRANQUILLITY.
La singularité de DEADLOCK est la présence de deux chants : un chant death assuré brillamment par John Gahlert et celui plus ‘symphonique’ de Sabine Scherer, dont la tessiture évoque Cristina Scabbia de LACUNA COIL. Si comme moi vous en avez un peu marre de tous ces groupes à chant ‘lyrique’, rassurez-vous, la dominante ici reste le death tant au niveau du chant que de la musique. La voix lyrique vient ici en second lieu apporter une touche de mélodie supplémentaire, souvent sur les refrains.
Des petites touches plus ‘pop’ (comme l’intro electro de ‘The Arsonist’) apporte un côté moderne à l’album entraînant parfois le groupe aux frontières d’un metalcore.
Techniquement, il n’y a rien à redire tant musicalement que vocalement ; le mariage growls/chant féminin est vraiment très agréable.
Tout juste pourra-t-on reprocher à DEADLOCK de se répéter sur les premiers morceaux jusqu’à la ballade ‘Hurt’ et l’étonnante reprise de BRONSKI BEAT (‘Small Town Boy’) qui viennent casser la monotonie.

Au final, il semble bien que DEADLOCK ait tenu ses promesses avec ce ‘The Arsonist’, résolument plus moderne que ses prédécesseurs. Les amateurs de musique mélodique, mais également désireux de changement, apprécieront. Les plus ‘coreux’ ou amateurs de pur death peut-être moins !







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