IBRIDOMA
Night club [ 2012 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 32.32
Style : Heavy metal
  Infos :
  Contact label : http://www.sgrecords.it
  Contact groupe : http://www.ibridoma.com http://www.myspace.com/ibridoma
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 27 février 2013 , réalisée par Ivan.Jack
   
Quelle bonne sensation d'écouter un groupe encore pas très connu et ressentir une pêche à partager, un sourire inexplicable sur les lèvres et l'envie de courir à la vie. C'est ce qu'a provoqué chez moi la première écoute d'Ibridoma, peut-être est-ce cela que nous appelons la musique positive...

Ibridoma est un groupe de Heavy-Metal italien, formé il y a 10 ans et n'ayant réalisé que 2 EP et un album éponyme en 2010 en cette longue période. Ils ont déjà pas mal tourné, notamment en compagnie de Blaze Bayley, Uli Jon Roth et Ritchie Kotzen....

Je ne parlerai que de leur musique car leur goût en matière de visuel est sérieusement à revoir...Non mais vous avez vu la pochette ???

D'entrée, ils mettent la pêche ("Eagles from the sky"), la production est bonne, le son des guitares est recherché, la batterie bien en place, les mélodies doublées sont peaufinées et l'on sent la maîtrise des musiciens, notamment avec ce chanteur qui nous en met plein la vue, de par sa technique et aussi l'émotion qu'il réussit à partager. Je me suis retrouvé en pleines années 90 en pensant entendre un clone de Midnight, regretté chanteur de Crimson Glory, et de Brian Molko de Placebo...C'est frais, ça bouge, ça passe super bien en début de journée.

Les mélodies de guitares ne sont pas provocatrices mais montrent un sens de la couleur aux petits oignons, ("Cold light of Moon", "Seven Days of Death"), on reste tout le long dans le classic heavy rock, avec quelques emprunts au metal progressif soft, mais c'est tellement bien fait qu'on en oublie le style un peu passé du groupe. Le chant à la Rush se renforce sur le refrain de "Seven days of death" mais la magie a ses limites et c'est le piège de tout groupe qui évolue dans un style connu et assez restrictif en somme....Au bout de 6 morceaux, ça s'essouffle...Alors peut-être est-ce consciemment que ce 2ème album est assez court, qu'il ne comporte que 8 chansons, on n'a pas le temps de se lasser et c'est très bien comme ça.

Un très bon moment de musique en tout cas, et je gage que les morceaux doivent faire un carton sur scène !







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