NEW ASSHOLES Recits d'ivres [ 2013 ] |
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CD Album Durée : 27.00 Style : Rock a boire |
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Chronique : 11 février 2013 , réalisée par sarvgot | ||||
C’est ce mois-ci que les nouveaux "trous du cul" (traduction oblige) lâchent leur nouvelle galette dans les bars. Les bacs… Pardon. Pour des raisons évidentes d’auto-censure, nous continuerons de privilégier la langue de Shakespeare pour évoquer notre trio : New Assholes. Voilà, notre morale est sauve et les yeux et oreilles chastes qui passent ici n’en seront point ébranlés. Quoique … C’est pourquoi si vous n’aimez guère le langage polisson, passez votre chemin, vous risquez fort d’être choqué. Et le mot est faible. New Ass’ c’est du lourd, du bien gras et du direct. Voilà, en trois mots, résumé ce nouvel album, aussi bien sur le plan musical que littéraire. Alors pour ceux qui ne connaissent point, New Ass sont des membres échappés, le temps d’une galette, de Trepalium. Là, ça parle un peu plus. Davantage dans une optique de défouloir, ce trio n’a pour but que de divertir, à la fois ses membres et ses fans. Et, du coup, le groupe se lâche complètement dans ses textes. Loin d’être scatophile façon Grind, ils ne sont pas non plus très subtils. « C’est Debout qu’on Pisse », c’est sûr, ça ferait tache chez Bénabar. Et puis de toute façon lui, Bénabar, il pisse pas debout… Et en plus, s’il chante comme sur ce Récits d’ivres, il aurait tôt fait de se casser la voix (Hum, hum …). Il faut dire que cette voix braillée et assez grasse, Lemmy n’est pas loin ! De toute manière, dés qu’on parle de boire celui-là … Il doit les connaitre « Les Vieux Dictons ». Musicalement, c’est clairement Hard. Un Rock "couillu" aux grosses guitares ronflantes. Du riff en veux-tu… Deux ou trois soli pour étayer le tout, pas loin du punk où les accords de puissance sont légion. Le principal, c’est qu’il faut jouer même en compagnie de Jack Daniels. Et que ça sonne correctement même quand William Peel s’invite, donc bon, simple mais efficace quoi. Cela n’empêche pas de bien secouer le coquillard en rythme avec la batterie à Vinvin. Même alcoolisé. On est des fous… Enfin bon, le problème c’est que « Bombard’N’Roll » ou « La Bombarde » sans bombarde bah… Vous êtes déçu. Le côté celte en plus ça n’aurait pas dénaturé le propos du trio. Mais bon, c’est quand même fendard et « Monte le Son », tu verras, « Bombard’N’Roll » ça claque tout. Il est certain qu’en concert, dans un p’tit bar, ça doit être quelque chose. Allez Pavilloneurs, vous avez compris que si vous avez besoin de vous défouler, une petite récidive de New Assholes vous fera repartir. Pas plus que pour déconner non plus, faut pas pousser. |
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