EMBRACE OF SILENCE Leaving the place forgotten by god [ 2012 ] |
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CD Album Durée : 43.30 Style : Doom Death Metal |
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Infos : | ||||
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Contact groupe : | ||||
ORIGINALITE |
TECHNIQUE |
PRODUCTION |
EMOTION |
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Chronique : 06 novembre 2012 , réalisée par Banger | ||||
EMBRACE OF SILENCE se forme en 2007 en Ukraine. Le groupe interprète un Funeral Doom teinté de Death Metal. Avec deux EP's derrières eux que sont « Autumn Despair » en 2009 et « Inspirational Songs », en 2010. Les ukrainiens sortent cette année leur premier album : « Leaving the Place Forgotten by God ». La musique du quintette a en effet une forte influence doom, les tempos sont très lents sur l'ensemble des morceaux, l'ambiance que dégage l'album est extrêmement sombre également. Des titres comme « The Slave of Forgotten Graves » comportent des passages plus rapides, plus Death Metal dans l'esprit, qui introduisent de la double-pédale et des harmoniques de guitares. Ces passages plus rapides, présents dans plusieurs titres tels que « Silent Voice, Empty Words » ou « Way to Salvation », dynamisent l'album, en général. Le style de musique de EMBRACE OF SILENCE n'est évidemment pas accessible à tout le monde, l'ambiance n'est pas seulement noire, elle est aussi mélancolique, voire déprimante. Cependant, les personnes qui aiment le genre devraient apprécier l'essai des ukrainiens. De plus, ces derniers sont aidés par une excellente production. Le son des guitares rappellent un peu CANDLEMASS, avec des harmoniques scintillantes, accompagnées d'une batterie puissante et d'un chant tout aussi puissant. Bref, un bon son, un album de qualité, mais qui sonne un peu comme du « déjà entendu », malheureusement (MY DYING BRIDE, KATATONIA, ...). EMBRACE OF SILENCE dispose de bons musiciens, mais le groupe manque cruellement d'une âme pour faire vraiment la différence. Tout n'est pas à jeter évidemment et certains morceaux sont vraiment bons à l'instar de « In Angel's Hand », ou « The Gates of Remembrance ». Il faudra attendre encore un peu pour voir le chemin qu'emprunteront les ukrainiens et voir s'ils parviennent à trouver leur marque de fabrique. |
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