FRAIL GROUNDS
The Fields of Trauma [ 2012 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 55:25
Style : Progressif-heavy metal
  Infos :
  Contact label :
  Contact groupe : http://www.facebook.com/frailgrounds http://www.myspace.com/frailgrounds
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 09 septembre 2012 , réalisée par wild-H
   
Après un EP sorti en 2008, voici un premier album pour ce groupe au nom peu évocateur, et qui mérite pourtant toute notre attention. FRAIL GROUNDS nous vient de Norvège et plus précisément d'Oslo... Dur dur pour un nouveau groupe d'y faire sa place tant la scène métal y est émergente. Mais rassurerez-vous, FRAIL GROUNDS dispose des armes nécessaires pour se faire entendre et mettre son style en avant !

« The Fields of Trauma » est enregistré au Lionheart Studio et mixé par Jens Bogren (SOILWORK, KREATOR...), autant vous dire que la production est en béton et à la hauteur de ce concept album. Le style est clairement heavy progressif et a la particularité d'ajouter des éléments « extrême » (vocaux black, blast...) à une musique qui se veut très mélodique et mélancolique à l'image d'EVERGREY ou d'un album de KOTIPELTO.

L'album débute sur une belle introduction au violoncelle, et nous plonge ensuite, selon l'histoire racontée, dans une expédition en Sibérie... La voix de Morten Søbyskogen nous transporte littéralement de titre en titre, « A Rural Trauma » ainsi que « Deathlines » sont tout bonnement magnifiques. « The Expedition » et « Origin » sont plus accessibles mais ne perdent pas de leur charisme pour autant. Les guitares quant à elles assurent bien les mélodies et alternent de superbe soli (moment émotion sur « Siberian Night »). Malgré le fait que l'on sente un très bon niveau technique, le groupe reste dans la sobriété ; pas de démonstration technique à outrance ou de tempo hyper rapide : FRAIL GROUNDS sert la musique.

Bref, il n'y a rien à jeter, et vous l'aurez compris, je suis un vrai fan. A l'heure ou le heavy tourne un peu en rond, il est toujours rassurant de voir ce genre de groupe faire surface. Un grand bravo à ces Osloïtes.







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