FIREWIND Few against many [ 2012 ] |
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CD Album Durée : 45.12 Style : Power metal progressif |
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Chronique : 08 juin 2012 , réalisée par daills | ||||
Septième album déjà pour les Grecques de FIREWIND ; il faut dire que beaucoup de personnes ont découvert ce groupe en 2009, depuis que son créateur, compositeur et guitariste GUS G a rejoint OZZY, le propulsant ainsi médiatiquement. On a donc tendance à s’imaginer que le groupe nous livre là sa deuxième production et non sa septième ! Au-delà de ses qualités de guitar-hero, GUS G est un musicien très productif et affiche un C.V. bien impressionnant ; voilà un Grec qui ne connaît pas la crise ! Le précédent album du groupe ‘Days of Defiance’ (2010) nous avait quelque peu laissé sur notre faim ; espérons donc que, ‘seul face à l’adversité’, FIREWIND réussisse cette fois à nous séduire davantage. Servi par une grosse production, l’album séduit d’emblée avec le premier titre ‘Wall of Sound’ et son riff bien ‘heavy’ qui n’est pas sans rappeler OZZY. ‘Few against many’ apparaît bien plus direct que son prédecesseur, ce, grâce notamment à la présence de très beaux riffs de guitares puissants : ‘Losing my mind’, ‘Long gone tomorrow’. On retrouve une cohérence entre les morceaux qui s’explique certainement par le fait que,contrairement au précédent CD, l’essentiel de l’album a ici été composé par GUS G seul. Même si ‘Few against many’ se révèle direct et homogène, il n’en demeure pas moins varié. On y retrouve, en effet, des influences ‘progressives’ : ‘Wall of Sound’ et ses accents à la SYMPHONY X, ‘Few against many’, compo assez complexe et intéressante. Sur ‘No heroes, no sinners’, FIREWIND montre un visage épique qui sublime son ‘Powermetal’. Certains morceaux sonnent de façon plus ‘sombre’ tels ‘Few against many’ ou ‘Long gone tomorrow’ sur lequel le groupe alterne les passages mélodiques à d’autres plus mélancoliques. Les mélodies ne sont pas absentes non plus (‘The undying fire’, ‘Glorious’). FIREWIND nous offre même un moment de douceur avec ‘Edge of a dream’, une ballade subtilement rehaussée par les violoncelles d’APOCALYPTICA. ‘Few against many’ s’avère donc un album varié, mêlant influences ‘heavy’, mélodiques, ‘power’ et ‘progressives’. L’écoute en est agréable et l’on ne s’ennuie jamais. Techniquement, le groupe est parfait. Un album en tout point plus abouti que son prédécesseur. |
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