LONEWOLF
Army of the damned [ 2012 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 50.06
Style : Heavy power metal
  Infos :
  Contact label : http://www.karthagorecords.de/index.php?ID=a02qpmhqmf42atqq2j8hob4i43
  Contact groupe : https://www.facebook.com/lonewolfdivision http://www.myspace.com/metalonewolf
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 18 mars 2012 , réalisée par sarvgot
   
LONEWOLF, groupe grenoblois, livre « Army of the Damned » en ce début d’année 2012. Un album rapide, mélodique, bourré de téstostérone aux relents de bière et ponctué d’hymnes ! De quoi lâcher un grand Cocorico …

Un album qui mettra dans le bain instantanément grâce au titre « Lonewolf » assez direct et plutôt pas mal représentatif de l’album : un riff mélodique, que n’aurait pas renié Rock’n’Rolf (Running Wild), un solo rapide et sympa, bref ce premier morceau donne envie de plonger plus profondément dans ce « Army of the Damned » à la française. Et l’album s’inscrit clairement dans une démarche de ‘revival’ Heavy Metal typé 80-90’s. Les titres sont vraiment basés sur l’aspect Hymne à reprendre en cœur sur scène.

Les chœurs, justement. Vous en retrouverez pas mal sur ce disque, qui seront là pour appuyer Jens Börner, dont le chant rauque pourra agacer certains. Pas transcendant techniquement, le chanteur à le mérite d’ajouter de la puissance à la musique au global, un côté masculin presque exacerbé (d’où le côté agaçant). De là à dire que c’en est trop …

Du côté instrumental, LONEWOLF place la barre assez haut : on retrouve à peu près tout sur ce disque. Des cavalcades à la double pédale (« Cold ») aux tempi plus martiaux (« The Last Defender »), des soli de guitares, il y a vraiment de tout sur cet album. Oui, mais voilà. Il y a clairement un côté hommage dans tout cela et, bien que le groupe soit en place depuis une bonne quinzaine d’années, on est en droit de s’interroger sur l’évolution possible des frenchies.

Carpe Diem, vous dirais-je. « Army of the Damned » mérite d’être abusé et réabusé, peu importe le futur. Ses chansons sont loin d’être ridicules, et la production assez imposante de l’album, bien actuelle, rend l’hommage au Heavy 90 encore plus poignant.

Army Of The Damned





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