NAPALM DEATH
THE CODE IS RED... LONG LIVE THE CODE [ 2005 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine
Durée : 45’12
Style : death grind
  Infos :
  Contact label : http://www.centurymedia.de/century
  Contact groupe : http://www.enemyofthemusicbusiness.com http://www.myspace.com/napalmdeath
 
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 06 mai 2005 , réalisée par NAHEMOTH
   
Voici le nouvel album de Napalm death : « The code is red… long live the code ». Groupe crée en 1982, et on peut le dire pionner du grind et politiquement engagé nous offre pour notre plus grand plaisir encore un nouvel album.
On se demande parfois comment les membres du groupe arrivent à être si productif depuis tant d’années, tant le nombre de leurs réalisations est impressionnant (plus de 40). Pour ce nouvel album, Napalm reste fidèle à lui même et dès la première écoute on se prend une bonne claque. Rythme effréné, blastage, et Barney est toujours aussi impressionnant au niveau des vocaux avec l’alternance entre voix grave et aiguë/criarde. On aurait pu penser qu’avec l’age les membres du groupe se calmeraient un peu mais non, pas du tout. Cet album contient encore quelques titres qui ne dépassent pas les une minute trente seconde. Certes cet album n’est pas comparable aux vieux comme « from enslavement to oblitération » mais il a sa part d’originalité et le peu de perte en brutalité est compensé par une composition des titres plus recherchée ce qui nous donne de sacrés riffs bien dévastateurs.
A noter aussi que des invités apparaissent sur cet album et c’est pas des moindres. Jello Biafra des Dead Kennedy groupe mythique de punk du début des années 80. Sont présent aussi sur cet album Jamey Jasta d’Hatebreed, et Jeff Walker de Carcass.
Pour résumer on peut dire que Napalm death nous gratifie encore d’une superbe album de death/grind avec des vocaux d’un Barney complètement hystérique ce qui renforce le coté grind. Certains passages a la gratte me font penser à du punk mais joué à la sauce Napalm. Seuls les deux derniers titres sont beaucoup plus lent et servent d’outro au CD, mais mis à part ces deux titres le reste de l’album nous en envoie plein la gueule pour notre plus grand plaisir.







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