DOOMDOGS
Unleash the truth [ 2011 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 69.61
Style : Doom Stoner
  Infos :
  Contact label : http://www.doomentia.com
  Contact groupe : http://www.facebook.com/pages/doomdogs http://www.myspace.com/doomdogs
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 19 octobre 2011 , réalisée par Teenage.Whore
   
DOOMDOGS est un groupe de « Doom/Stoner » Suédois formé en 2007 et signé chez « Doomentia Records ». C’est en 2010 que le combo sort leur premier album intitulé tout simplement « Doomdogs ». Le groupe remporte de bonnes critiques et sur ce même élan, ils reviennent aujourd’hui avec un second album nommé cette fois-ci « Unleash The Truth ».
DOOMDOGS, c’est un peu comme un gâteau à base de chocolat sur lequel on aurait ajouté pleins d’ingrédients quelque peu inutiles. Vous prenez donc une petite pincée de DOWN, une bonne cuillère à soupe de BLACK SABBATH, un zest de MOTORHEAD et vous obtenez le nouvel album de ce groupe. Vous êtes perplexes ? C’est le moins qu’on puisse dire !
DOOMDOGS nous montre chaleureusement toutes leurs influences diverses à travers leurs compositions, cependant le mix de tout ça ressemble à un château de carte à deux doigts de s’écrouler. En revanche, de très bonnes chansons rehaussent un peu cette fougue destructrice, avec des titres comme « Eye For An Eye », « The Annie-Christ », ou « Two-Wheel Wonder». Des titres très Stoner et dynamiques. Mais attention tout de même, le style « Stoner » est un style qui ne pardonne pas en termes d’imperfections vocales. Ma première grosse critique sur cet album se cible donc sur la justesse du chanteur, qui est beaucoup trop faible et parfois complètement à côté sur certains morceaux. Par exemple, le titre « Magic Of The Black Circle » est très bon en soi, la mélodie est assez rétro et entraînante, en revanche la voix l’anéanti complètement. Si certains titres me paraissent assez inutiles en matière de créativité, d’autres, comme « Questions To My Answers » par exemple, prouvent que DOOMDOGS en a quand même dans le ventre. Dommage que ces moments soient rares et que la voix du chanteur soit d’une extrême médiocrité. Ce chanteur est parfait pour faire du « Doom », mais peut-être pas jusqu’à faire du « Stoner ».

Pour conclure, DOOMDOGS ne sort probablement pas l’album de l’année. Il reste cependant acceptable, mais mériterait plus de travail et de créativité. Cet opus n’est pas « lourd » dans le bon sens. Il en devient presque trop long, chaque nouvelle composition donnant une autre occasion d’agrandir la page des imperfections. En revanche, je suis persuadée qu’il pourra en satisfaire plus d’un, je recommande donc à nos lecteurs de se faire sa propre opinion sur cet opus.







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