FIREBIRD Double Diamond [ 2011 ] |
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CD Durée : 35.45 Style : Hard Rock |
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Chronique : 25 février 2011 , réalisée par Hades | ||||
Et de six. Le sixième album du trio anglais de Firebird sort en ce début d’année 2011 sous le label Rise Above Records. Un album sous le signe du Hard Rock essentiellement. So let’s go ! Pour ceux qui ne connaissent pas le groupe, ça fait plus de 10 ans qu’il est actif avec à sa tête un certain Bill Steer, vous ne voyez pas qui c’est ?! si je vous disais Napalm Death, Carcass, Cathedral… Vous ne voyez toujours pas ! Regardez google, sinon moi je termine ma chronique. Je disais donc que c’est la sixième réalisation du groupe, un album qui va plaire à plus d’un fan du Hard Rock old school britannique. « Double Diamond » est le titre, presque 36 minutes c’est la durée et « Soul Saviour » est le premier titre. Un titre aux bons vieux riffs d’autre fois venant tout droit des années 70, pas de complexité musicale un son à la limite entre un Heavy très classique et un Hard Rock très Blues. Et ce titre est à l’image de tout l’album, en partant de « Ruined » jusqu’à « Lose your Delusion » rien ne change vraiment et meme un air très agréable plane sur tout l’album, on finit par se lasser plus d’une fois d’un titre beaucoup trop répétitif, ou beaucoup trop classique. Bien sur je ne remets pas en cause le jeu très bien exécuté du groupe, ni la qualité musicale des compos. Mais il faut être franc, ce style sort complètement de son contexte temporel. Peut être plaira-t-il à quelques fan vieillissants, ceux que cet album rappellera un lointain souvenir de jeunesse mais il restera pour la plupart un banal ‘retour aux origines’ rien de plus. Toutefois, quelques titres m’ont quand même marqué dans cet opus, d’abord par leur tempo plus lent et un style sentant une fraicheur issue d’un pop-rock plus contemporain « Farewell ». Ensuite, toujours le tempo lent mais cette fois avec un son plus… comment dire, plus ‘noirâtre’, plus sombre raccompagné de quelques soli lents, mélodiques parfaitement incrustés dans le titre « Arabesque ». Et pour finir avec « Pantomime » et son entrée en acoustique, des distos et son de guitare saturé. Bref tout n’est pas à rejeter dans cet album, certes ça sonne un peu vieux, le jeu est souvent très prévisible et beaucoup trop simple surtout coté batterie, et la durée est un peu courte pour arriver à apprécier le travail, mais la qualité est indiscutable, et si ce n’est le manque d’originalité flagrante on aurait pu dire que c’est un retour en force d’un genre qu’on croyait déjà défunt. |
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