BUT WE TRY IT Dead Lights [ 2011 ] |
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CD Durée : 40.26 Style : Thrashcore |
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ORIGINALITE |
TECHNIQUE |
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Chronique : 01 février 2011 , réalisée par borgir62 | ||||
Né en 2008, les thrashcoreux allemands de But We Try IT sortent leur premier album, Dead Lights. Tout fan de Thrash (et autres styles) connaît Waldemar Sorychta guitariste de Grip Inc. (R.I.P Gus Chambers) et de Enemy Of The Sun. Ca tombe bien puisque c’est ce grand monsieur (qui a notamment travaillé avec des groupes comme qui Samael, Sodom, Therion ou Borknagar) qui a produit l’album de nos voisins teutons. Aucun doute, But We Try It est allemand. Il suffit d’écouter cet album pour s’en apercevoir. Dans la lignée de groupes metalcore tels que Heaven Shall Burn ou Callejon, principalement au niveau batterie et guitares. Si la première écoute est difficile, le groupe apportant énormément de touches modernes qui n’ont plus rien à voir avec ce bon vieux thrash que l’on connaît tous, force est de constater qu’au fur et à mesure, nos oreilles font fit d’un chant assez limité et d’une incroyable répétitivité des morceaux. Car soyons franc, le groupe n’apporte pas grand-chose d’original sur la scène metal allemande. Bien au contraire, les riffs sont une grosse copie de ce que nous pouvons entendre actuellement lorsque l’on va voir un concert sur la scène metalcore. La seule “originalité” résidera donc dans un chant hurlé, rarement accompagné hurlements gutturaux contrairement à ce que les allemands nous proposent habituellement. Néanmoins, je le répète, cet album a le mérite de se bonifier à la longue, et ce qui ressemblait à un banal album prend regorge ça et là de belles touches. Les guitares sur “Embracing Darkness” accompagnent à merveille une longue complainte, bien mise en avant par Jörn Preidt au chant. Soulignons aussi ce morceau de piano qui introduit de bien belle manière “Dead Lights I – The Rising”, véritable balade de l’album. He Gift And The Curse” sera certainement le morceau qu’il faudra retenir de ce premier opus, avec une mélodie qui fera sensation en concert (idem pour “City Of Ghosts”). Un premier opus qui, sans être totalement raté, méritait certainement mieux, surtout en prenant chaque élément positif séparément. B.W.T.I est capable de mieux, c’est évident. Il faudra vraiment soigner un chant qui est en très nettement en dessous du reste. |
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