ABNORMALITY
Ablaze [ 2010 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD
Durée : 31.06
Style : Death Metal & Classique
  Infos :
  Contact label :
  Contact groupe : http://www.abnormality.fr http://www.myspace.com/abnormality13100
  Interview :
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
Pavillon 666 - metal rock webzine
TECHNIQUE
Pavillon 666 - metal rock webzine
PRODUCTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
EMOTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
  Chronique : 29 octobre 2010 , réalisée par Black.Roger
   
En fait on sait peu de choses sur le nouveau groupe Marseillais ABNORMALITY qui nous propose son premier album intitulé « Ablaze » en cette année métallique 2010. Pourquoi ces compositions de death-métal classique qui côtoient celles de guitare acoustique classique ? Est- là que l’on doit trouver l’anormalité » voulue par ce quatuor un peu atypique ?

Nous n’allons pas tergiverser longtemps durant la première écoute de l’album. Ce qui nous fait mal, c’est une production archaïque qui met en l’air le travail des musiciens, car travail il y a même si les guitares sont en back-ground et la batterie insupportable avec ses « toc-toc » » de caisse claire enregistrés au fond du garage. Evidemment la voix caverneuse à la BOLT THROWER semble prêcher dans un désert sonore musical, l’effet monocorde y étant pour beaucoup il faut le souligner.
Je n’ai pas bien compris où la formation voulait en venir avec trois morceaux de guitare classique (les seuls bien produits et audibles) et les six titres de death/thrash se voulant un peu progressifs de part le jeu aventureux du guitariste que l’on devine plus que l’on entend, dommage. Oui, vraiment dommage car l’on sent une volonté de sortir des sentiers battus dans le métal, et un potentiel caché se fait tout de même jour.
Mais ce premier opus des Sudistes de la France n’a pour l’instant aucune accroche, de part bien entendu cette production désastreuse et d’autre part par un essai musical se voulant original mais qui au bout du compte ne ressemble pas à grand-chose de bien intéressant.

Conclusion, tout ou presque est à revoir pour ce nouveau combo qui semble se disperser dans des compositions sans issue et qui a encore beaucoup de travail à effectuer en studio pour nous présenter quelque chose de cohérent et de surprenant, on attend…







AUTRES CHRONIQUES DU MEME GROUPE