CADAVERIC HUNTER
Disco Zombie [ 2010 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD
Durée : 41.35
Style : Grind/Death
  Infos :
  Contact label :
  Contact groupe : http://www.myspace.com/cadaverichunter
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 27 octobre 2010 , réalisée par Black.Roger
   
Dans le métal parodique à l’esprit bien « franchouillard » nous avions déjà le très connu ULTRA-VOMIT dont les prestations sont adorées ou ignorées, c’est selon… Maintenant nous avons aussi CADAVERIC HUNTER et son grind/death scato bien « pipi-caca-boudin » comme dirait les enfants dans la cour de la maternelle.
Le quintette Lorrain sévit depuis l’an de grâce 2004 et nous a déjà gratifié d’œuvres sublimes et néanmoins poétiques comme les démos de 2004 et 2005 intitulées « Démoroïde » et « Pink Rabbit ». En 2006 ils en remettent une couche avec un premier album intitulé « Porcinet » toujours dans le même délire. Alors que va-t-on trouver aujourd’hui à l’écoute de nouveau « méfait » appelé « Disco Zombie » ?

Et bien c’est toujours la même chose en fait, un gros grind/death efficace bien bourrin, bien gras qui ne se prend pas au sérieux. La production est relativement bonne, les voix gutturales et criardes, mais aussi en clair varient les plaisirs avec des paroles toujours un peu (beaucoup) « dégueu » où tout se passe la plupart du temps en dessous de la ceinture.
Beaucoup vont se tordre de rire à l’écoute de « Enrico Machiasse », « Fatal Anal Penetration de Ta Mère », « Merguez Partouze » et autre « Moria Del Puta », mais pas moi, désolé les gars mais je ne suis pas arrivé à rigoler durant les 41 minutes de ce n’importe quoi un peu trop salace à mon goût. J’ai même failli interrompre l’écoute des 18 titres de l’album, c’est vous dire.

Voilà, je vous ai fait part, sans détour, de ce que je pensais de ce nouveau skeud « métal-orgiaque » qui ne vole pas bien haut à mon avis. Mais rassurez-vous je pense qu’un certain public, surtout en concert, va adhérer à vos éjaculations mentales déclenchées après un bon « branlage de manche », bonne bourre les gars et sans rancune.







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