LANDMINE MARATHON Sovereign Descent [ 2010 ] |
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CD Durée : 39.35 Style : Death/Thrash/Grind |
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Infos : | ||||
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PRODUCTION |
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Chronique : 19 juin 2010 , réalisée par Hades | ||||
"Landmine Marathon est un groupe de Metal extrême formé en 2004 dans le Poenix, Arizona." Voila tout ce que vous trouverez si vous voulez comme moi en apprendre un peu plus sur ce groupe. Vous pouvez aussi trouver qu’il a déjà deux albums à son actif, et que le troisième « Souvereign Descent » vient de sortir cette année mais presque rien de plus. C’était juste pour vous dire que la scène Metal des States regorge de groupes qui nous sont quasi inconnu. Je vous disais donc que Landmine Marathon sort sont troisième opus cette année. Un album qui ne s’éloigne pas trop de l’esprit des ses deux précédents : du grind à la Napalm Death enveloppé avec un Death assez brut. Une fois le menu annoncé, on attaque. Et là, pas d’entrée au menu, on passe direct au principal car « Exist », la première piste de l’album, ne nous laisse pas vraiment le choix. On est d’emblée prit par ce rythme de fou, ces Blast super rapides, et une chanteuse qui nous en met plein la face. Si si, Grace Perry est bel et bien la chanteuse de Landmine Marathon. Bien évidemment on en connait plus d’une chanteuse qui joue dans un groupe de Metal extrême, mais Grace les dépasse toutes, de loin même. Sa voix aiguë va de paire aussi bien avec les touches de grind qu’avec les parties Death. On n’est pas à la fin de nos surprises avec cet album, car en arrivant sur « Cruel Policy » on a petit abaissement du rythme, comme si le groupe prenait une pose u beau milieu du titre. Cela aurait cassé toute l’ambiance de l’album si ce n’est le petit solo qui surgit ou encore l’excellente voix de ‘Grace Perry’ qui relève encore le niveau. Un petit mot sur la production, le groupe a choisi un son plutôt…différent du Death qu’on a eu l’habitude d’écouter, différent dans le sens ou on avait l’habitude de riffs plutôt lourd, groovy pour sortir toute l’agressivité des titres, là on monte plus vers les aigus. C’est toujours rapide, certes mais on a monté beaucoup plus vers les aigus, mais au fil des titres on finit par s’y habituer. En bref, « Sovereign Descent » est un album qui secouera plus d’une tête, et à défaut d’être original il pourra avoir sa petite place entre un Napalm Death et un Carcass. |
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