AIRBOURNE No Guts, No Glory [ 2010 ] |
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CD Durée : 44.53 Style : Hard Rock |
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Interview : | ||||
ORIGINALITE |
TECHNIQUE |
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EMOTION |
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Chronique : 16 avril 2010 , réalisée par Vomit | ||||
Enfin de la chair fraiche dans le milieu du Hard Rock pour ce début d'année! Bien qu'il ne fasse pas si chaud que ça chez eux, les frères O'Keeffe et le reste de la troupe d'Airbourne ont quand même fait l'effort de nous ramener quelques rayons de soleil lors de leur dernier passage en France. Cela fait à peine un mois que « No Guts, No Glory » est sorti et il rencontre quelques problèmes. Déjà en 2008, les australiens étaient sujet de controverse et rencontrait des obstacles lors de la sortie de « Runnin' Wild ». Or, cela ne s'arrangera pas avec ce nouvel opus. Malgré toutes ces polémiques, nous avons quand même droit à un très bon résultat malgré la similitude sonore avec le célèbre quintette australien qu'est AC/DC ! Bien qu'ils soient considéré comme la copie conforme du célèbre groupe, Airbourne suivent les pas des frères Young et nous pondent un hard rock rigoureux et bien moins bluesy qu'eux! L'artwork est plutôt pas mal dans son genre. Nous pouvons voir que certains éléments présents sur la pochette font référence aux titres figurants sur cet opus. Au premier abord, l'élément le plus tape à l'oeil reste le groupe! Elle reste dans le même genre que celle de « Runnin' Wild » et nous retrouvons toujours Joel O'Keeffe brandissant sa magnifique Gibson X-plorer! D'un côté, la jeune demoiselle situé en bas de l'opus fait référence au titre « Blonde, Bad and Beautiful », « Raise the Flag » est représentée par le groupes d 'hommes qui brandissent le drapeau de l 'Eureka Stockade, les hélicoptères et le camion sont ici pour « White Line Fever » ou encore « Steel Town » illustrée par l'usine et les ouvriers se trouvant devant celle-ci. Bref, trêve de bavardage et reprenons un peu de « sérieux ». L'album débute par « Born to kill », chanson bien péchue et entrainante à souhait. Dès les premières notes, les auditeurs savent à quoi s'attendre : du hard comme on l'aime! Les chansons ont le même plan que celles du précèdent album et possèdent toujours ces riffs que l'on garde si facilement en mémoire. La voix tapageuse reste efficace surtout lorsque celle-ci est accompagnée par les autres membres lors des refrain. Les chansons se ressemblent énormément ce qui veut dire qu'on ne peut malheureusement pas parler de révolution. Certains se contenteront d'un style sans grande évolution tandis que d'autres vitupéreront contre nos « Aussies ». Néanmoins, cet album contient tout de même de petites pépites et ne laisse aucun répit à son auditoire. Amateur d'AC/DC, Rose Tattoo etc... je ne peux que vous conseillez cet opus! Enfin, malgré des sonorités et mélodies trop poches de « courant alternatif/courant continu », Airbourne continue de creuser afin de planter son nom dans la cour des grands. Outre les polémiques concernant le groupe, la relève d'AC/DC a trouvé preneur. Au final, nous en avons deux pour le prix d'un : les « papis » pour un brin de nostalgie et les petits nouveaux pour la fougue! Pour conclure, ce petit bijou fait l'effet d'une tornade et risque de ravager vos sens! |
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