DECREPITY
The Decaying of Evolution [ 2008 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD
Durée : 24.58
Style : Brutal Death/Deathcore
  Infos :
  Contact label : http://www.cryogenicrecords.net
  Contact groupe : http://www.myspace.com/decrepity
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 06 février 2010 , réalisée par Walkyrie
   
Decrepity, ce nom ne vous dit pas grand-chose ? A vrai dire, moi non plus, d’autant plus que je ne suis pas vraiment fan du Deathcore. Pourtant ces mecs là en valent la peine ! Formé en 2005, le combo québécois a sorti son premier album en 2008 « The Decaying of Evolution », qui suivait leur démo de 2005 intitulée tout simplement « Promo 2005 ». Mais revenons à « The Decaying of Evolution » puisque c’est lui que je vais vous présenter.

Dès les premières notes, le combo nous entraine dans un tourbillon de musique énergique et puissante. En effet, l’album démarre par le titre éponyme, sans doute LE titre de cette galette, qui nous fait accrocher de suite à leur musique avec ses riffs entrainants. C’est aussi le titre sur lequel on ressent plus le côté Deathcore de leur musique notamment avec quelques pig squeals.
Si l’influence du Deathcore se fait sentir par des breaks ou un chant propre à ce style, celle-ci reste assez légère. On parlera plutôt d’un Brutal Death influencé par le Deathcore.
Les musiciens, qui maitrisent fort bien leurs instruments et le chanteur son « organe » vocal, parviennent à nous séduire à coups de riffs accrocheurs, soli incisifs, batterie intensive et un chant très bien exécuté.
Du côté de la production, il n’y a rien à redire. Le son est propre et chacun des instruments (y compris la voix) réussi à se faire entendre sans problème. Ce qui, je pense, se doit d’être souligné d’autant plus qu’il s’agit de leur premier album.

Si jusqu’à maintenant je n’avais jamais accroché au Deathcore, Decrepity vient de changer cela, même si c’est assez léger chez eux. « The Decaying of Evolution » est une tuerie. On l’aime du début à la fin. Pour un premier album, ils mettent la barre très haut. C’est sans aucun doute un avenir prometteur qui se dessine pour ces québécois.







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