DARK ILLUSION Where Eagles Fly [ 2009 ] |
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CD Durée : 44.48 Style : Power Melodic Metal |
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Chronique : 17 décembre 2009 , réalisée par Hades | ||||
Formé aux débuts des années 80 le groupe n’a pas pu résister face à la compétition et les membres ont arrêté leurs activités jusqu’en 2003 où deux des membres fondateurs ont reformé le groupe et déjà un deuxième album est en route après « Beyon the Shadows » en 2005. A l’écoute de l’album plusieurs groupes vous viennent en tête, de Helloween à Dio en passant par Primal Fear ou encore Hammerfall. Ceci n’a rien d’exceptionnel car si le groupe a pris une vingtaine d’année de pause il ne les a pas passé à méditer pour créer un nouveau genre, c’est du power metal très traditionnel comme on en écoute tout les jours. Une durée totale de près de 45 min on ne trouve pas vraiment de titres qui se distinguent des autres, l’album est plutôt uniforme tous les titres sont aux alentours des 4min, vous ne risquez pas de vous ennuyer. Comme dans tout album de Power Metal digne de ce nom, les titres dans « Where Eagles Fly » sont d’un tempo assez rapide, des riffs accrocheurs, des solos omniprésents et très mélodiques, un vocal très mis en avant, tout en restant très accessible. Ne vous étonnez pas alors si après quelques minutes d’écoute vous vous trouvez à tapoter en suivant le rythme de la batterie. Les influences du groupe, elles aussi font leurs apparitions régulières. Des titres comme « Dark Journey », « Pay the Price » nous font penser à Hammerfall, surtout coté vocal. Par contre en écoutant « Evil Masquarade » c’est plutôt à Dio qu’on va penser, ou encore à Halloween sur « Only the Strong Will Survive ». On ne pourra pas dire que le groupe a fait preuve d’originalité lors de cet album, d’ailleurs c’est le plus grand défaut de ce dernier, mais la performance des musiciens et surtout du chanteur nous fait oublier cela bien rapidement. Certes le groupe a fait preuve d’un grand savoir faire sur cet album, mais ce n’est pas comme cela qu’on peut conquérir la scène metal, encore moins en suède où Death et Black font la loi, alors une touche d’originalité serait le bienvenu. |
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