GUILT MACHINE On this perfect day [ 2009 ] |
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CD Durée : 57.37 Style : Rock/metal progressif |
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Chronique : 29 septembre 2009 , réalisée par AVALON | ||||
Il y a des coïncidences qui peuvent vous perturber. Après une chronique de Porcupine tree, voilà que s’installe dans le lecteur ce groupe inconnu originaire des Pays bas : GUILT MACHINE. Aucun rapport allez vous me dire ? Pas si sûr parfois… C’est alors que l’on se penche sur la biographie et que l’on note le nom de l’instigateur principal : Arjen Lucassen. Celui-là même qui est à l’origine du groupe AYREON et qui avait décidé de faire une pause. Tiens, mais qui vois-je à la batterie ? L’ex batteur de…Porcupine tree ! Là où l’on pouvait claser AYREON dans le domaine progressif/heavy/classique façon opera rock pour schématiser, GUILT MACHINE s’inscrit lui dans un projet très progressif mais nettement moins metal dans l’approche, puisqu’il faudra surtout compter sur un rock progressif, entre…Porcupine tree et…AYREON. Vous suivez toujours ? Le chant clair est carrément parfait et parfois (dans les aigües) me rappelle le chant de Freddie Mercury. Le coté progressif est peut-être plus présent que dans Porcupine, surtout dans l’expérimentation et l’utilisation du synthé progressif si reconnaissable, mais qui n’apparait que succinctement. Comment ne pas succomber à pareil ouvrage ? Entre metal et rock pêchu, et subtilité aérienne, comme sur le titre « Leland street », où le coté Anathema n’est toujours pas si loin. Parfois vous trouverez des samples/textes en français, en espagnol, histoire d’agrémenter et de situer les titres. N’oublions pas la guitare tenue magistralement par Lori, non, pas votre « meilleure amie », mais par une ex-Stream of passion. Subtilité féminine, allez savoir, en tout cas on navigue entre solos épurés et riffs tranchants, parfaite harmonie des genres. Parfois le son est assez expérimental et futuriste, ce qui rassure et nous prouve que ce groupe ne se contente pas de copier/coller les plus grand du genre, mais de proposer une musique innovante, originale et surprenante parfois. Si le dernier Porcupine tree était attendu et au final, enfonçait logiquement le trône dans lequel ils siègent, GUILT MACHINE se pose en véritable découverte et une grosse surprise qui n’a pas fini de faire parler de lui. Un véritable coup de cœur qui ne cesse de passer en boucle et qui provoque frissons et trémolos à chaque seconde, une aventure que je vous invite à ne pas louper… |
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