TRANSMISSION Sublimity [ 2008 ] |
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Durée : 49.29 Style : Rock alternatif atmosphérique |
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Infos : | ||||
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Chronique : 26 octobre 2008 , réalisée par AVALON | ||||
Le label – indépendant et légendaire – anglais « Malicious damage » nous sort en cette rentrée 2008 le nouvel album des british de TRANSMISSION « sublimity ». Les amateurs de progressif rock connaitront surement, pour les autres sachez que ce groupe comporte Simon Tong, guitariste qui a œuvré dans des groupes tels que Blur, The verve, puis Martin "Youth" Glover du groupe Killing joke accompagné de son acolyte "Big" Paul Ferguson à la batterie. Vous trouverez également Tim Bran du groupe dub/electro Subsonar. Le décor est planté, et vous observerez qu’entre rock/punk/dub/electro, il faudra faire un choix, choix du post rock à tendance atmosphérique pour TRANSMISSION. Sous un classieux digipack aux couleurs noir / violet, cet opus est - en exagérant un peu - la pièce manquante entre Giorgio Moroder (BO midnight express, etc..) et les groupes tels que The verve et Mogwai. Evidement le coté Godspeed You! Black Emperor n’est pas à ignorer vu que le post rock ambiant est de la partie… Alors que donne un tel album, vu que les influences musicales sont très variées ? Et bien un petit joyau que la reine d’Angleterre gardera surement très précieusement. Premier titre avec une basse ultra présente, c’est un des points forts de l’album. Les guitares quand à elles sont subtiles et aériennes (vu le style il était difficile de faire autrement), mais parfois savent se faire plus insistante et rock, façon PIXIES. Le mot est lâché. J’ai vraiment retrouvé l’ombre de ce groupe légendaire en arrière plan de ce « Sublimity ». Un rock coincé entre le rock/punk et le post/ambient. Imaginez donc Pixies faire leur musique, mais sans chanteur ou du moins, qui apparait très discrètement. Avec une petite dose d’atmosphérique en plus, et vous y êtes. Il n’y a qu’à écouter le titre « Confusion » pour s’en rendre compte, et s’en délecter. D’ailleurs, sur ce titre, le chant clair sort un peu plus de l’ombre, et rappelera peut-être un certain…Franck Black. C’est assez déroutant, on se demandera même si le groupe n’est pas tout simplement invité sur cet opus pour balancer quelques notes… Alors, évidement, tous les fans de post rock et de rock alternatif façon Pixies vont se ruer sur cet album, qui propose, malgré mes dires, quelques chose de très personnel et de vraiment bien construit et prenant. C’est beau, c’est rock, c’est Transmission ! Rock save the queen ! |
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