WÄKS
Wäkshing Machine [ 2008 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine
Durée : 56.22
Style : Electro punk
  Infos :
  Contact label :
  Contact groupe : http://www.gluttewaks.com http://www.myspace.com/gluttewaks
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 29 juillet 2008 , réalisée par S.Y.L.
   
On avait bien essayé de les enfermés pour cause de trop d’agitation dans les studios, mais ils se sont enfuis et les voici pour notre plus grand bonheur ! deux ans après le très remärqué (et épuisé) « Elektro sucks », le trio des déjäntés Wäks repart de plus belle avec « Wäkshing machine ». En deux années, la musique de la plus française des formation suisse (et vive versa) s’est effectivement largement diffusée, au point d’assister à un véritable phénomène de Wäksmania dans les prestations live, concerts au cour desquels le groupe vient dorénavant s’enrichir de la présence d’un (vrai) batteur.

Le visuel toujours très dessin animé déglingué façon animaniacs, ou plutôt « animaniäks », laisse présager d’un contenu musical une nouvelle fois dirigé vers la simplicité et l’efficäcité avec comme idée de base : tout les moyens sont bons pour enflammer le dancefloor, alias le « flex » si vous êtes « in ». Beats, grosses guitares, electro punk ? oui mais pas uniquement, une nouvelle fois Wäks se lance dans l’expérimentation et le mélange de l’électro sous toutes ses formes, flirtant avec l’ambiant, voir le rock/pop (« Undercore ») ou en intégrant des sonorités plus métalliques et des passages plus proches de l’indus.
Comme son nom l’indique, Wäkshing machine offre un joli brässage de styles, ravivant les couleurs du délavé, sans pour autant ôter toutes les taches, histoire de laisser aux compositions cet esprit décädent de musique « pas comme il faut ». Peut-être un ton moins incisif que son prédécesseur, l’album semble plus jouer sur les saturätions et les intensités, plus changeantes d’une piste à l’autre, voir même au sein d’un même titre. Une nouvelle fois, le chänt tient une place prépondérante dans ces changements de style ; lavé à grandes eaux dans les mächines, le voici parfois agressif, robotisé, mais abordant également plus volontiers un registre plus atténué (voir froid, comme sur « Bicycle ») et entêtant. Bill Clinton joue t il toujours du säks ? toujours est il que l’on se marre un mäks avec des tubes tels que « Get away », « Jeje on the road », « Waited Bounce » ou la dynamite « We are so dark » et le délirant « Cokapshit » (sans oublier la surprise cachée à la saveur très « bonbons aux plantes » !) ! ah ? oui, en fait presque tous les titres de l’album sont des tubes, à écouter non pas « fort de préférence », mais « uniquement » très très fort, histoire de bien en saisir l’essence.
Pourrait se reprocher un petit manque de prise de risque d’un album à l’autre, mais peu importe leur folie nous désäks, et voilà du son attaquant directement l’oreille interne, et faire taper du pied quasi inconsciemment, foncez, y’a pas d’arnäks.







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