ZIMMERS HOLE
When You Were Shouting At The Devil...we Were In League With Satan [ 2008 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine
Durée : 39.44
Style : Power metal
  Infos :
  Contact label : http://www.centurymedia.com/
  Contact groupe : http://zimmershole.com/ http://www.myspace.com/zimmershole
 
Pavillon 666 - metal rock webzine Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 27 février 2008 , réalisée par AVALON
   
Vancouver, Canada. Le froid, la neige, le blizzard, rien de très propice et d’engageant. Et pourtant, vous oubliez un détail. Les metalleux qui tentent de réchauffer l’atmosphère locale, par le biais de leurs instruments. Zimmer hole, c’est un démarrage en 1991 (tout de même !) avec un nom « The hole », pour débuter. Vous ne connaissez pas ce groupe ? Un « honte à vous » s’impose et un rappel à l’ordre également, pour vous mettre l’eau à la bouche, disons que le groupe ne contient que des « stars » : Byron Stroud (Fear Factory, SYL) à la basse, Jed Simon (Tenet, SYL) aux guitares, Chris 'The Heathen' Valagao (chants) et le meilleur pour la fin : le monstrueux Gene Hoglan aux futs.

Trois Strapping young lads, cela fait beaucoup vous allez me dire, il ne manquait plus que Devin et le compte y était. Alors en quoi Zimmers hole se différencie-t-il de SYL ? Musicalement, de peu de choses à vrai dire. C’est du mega lourd, du power thrash qui est hyper carré de part la précision millimétrée de tous les intervenants, avec une mention spéciale pour la batterie qui apporte rien qu’avec la technique variée et carrée de Gene, 80% du résultat positif de ce troisième album. Cet album (et ce groupe) est barré, certes avec Devin de SYL on était à bonne école, mais ici le coté humoristique et décalé prend une part beaucoup plus importante (plus sur les albums précédents toute fois, ici on est plus accès sur l’efficacité et moins sur la déconne). Le chant est également « fou » avec the Heathen qui hurle, crie, et change à chaque fois de registre de chant même si celui ci est globalement plus heavy et aigue.
Donc on sait que techniquement c’est pro de chez pro et que « ca envoie sec », sans fioritures et sans temps morts. Presque toujours à fond les manettes quoi, et au final, qu’en ressort-il ? Et bien si tout est hyper énergique et efficace de chez efficace, on ne retient par contre pas énormément de riffs "qui nous poursuivent le reste de la journée"…Pas comme sur les albums que Devin T. arrivait à nous pondre avec un "je ne sais quoi en plus". En même temps, le but n’est pas forcement de faire de la mélodie ici, mais tout de même.
Conclusion : on joue la fine bouche; mais ceci est un album à posséder absolument, car quasiment parfait d’un bout à l’autre, la folie et l’humour en plus, à consommer sans modération pour vous broyer les neurones avec le sourire !







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