COMEBACK KID
Broadcasting [ 2007 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine
Durée : 33.16
Style : Punk-Hardcore-Metal
  Infos :
  Contact label : http://www.victoryrecords.com
  Contact groupe : http://www.comback-kid.com http://www.myspace.com/comebackkid
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 26 décembre 2007 , réalisée par Black.Roger
   
COMEBACK KID, ce nom ne vous dit rien ? Pourtant, c' est un "chouchou" de la scène Punk/Hardcore actuelle semble-t-il ! Nos jeunes Canadiens commencent à cracher leur virulence dès l'année 2002. Leur premier album "Turn It Around" sort en 2003 sur un petit label. Mais dès le second opus "Wake the Dead" (2005) ils sont signés chez Victory Records (Chicago), tout va donc très vite pour ce jeune combo. Et en cette année 2007, leur nouvelle sortie intitulée "Broadcasting" nous pête à la gueule. Après d'incessantes tournées avec notamment des groupes comme, Sick Of It All, Madball, Bad Religion et Terror, en Europe, Canada, USA, Australie et Nouvelle Zélande, Comeback Kid semble être devenu un grand nom du Hardcore d' aujourd'hui.

"Broadcasting", va mettre tout le monde d'accord, car le combo, a trouvé la recette pour rendre indispensable une galette de Punk en dosant beaucoup d'autres ingrédients de la scène Rock, au sens large du terme. Contrairement à beaucoup de références Punk, Comeback Kid a su rendre écoutable sur la durée leur CD en évitant l' écueil de la guitare à une corde, cliché attribué généralement aux ancêtres du style et en particulier aux Ramones. Ici les guitares sont tour à tour heavy et mélodiques, et les riffs savent nous coller aux murs le moments venu, riffs hardcore-metal très catchy, en l' occurrence. La voix est indéniablement punk, du premier au dernier titre, elle crie l'urgence et l'envie de mordre. Dans cette sauce musicale, le dosage punk, le dosage hardcore et les épices metal sont très bien associées, et la galette qui sort du four est à point et réussie. Au niveau des influences, mais à petites doses, j'ai retrouvé bien évidemment du Madball, mais aussi, et c'est bien plus surprenant, du Nirvana. Pourquoi pas, car les membres du combo eux-mêmes, déclarent que ce dernier opus est le plus noir qu'ils n'aient jamais écrit.
Aprés un résultat bien positif de l'écoute, je peux vous garantir un renouveau punk/hardcore de bien bonne facture, avec cet album, dont je vous recommande fortement l'acquisition.







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