THE DEEP EYNDE
Bad Blood [ 2007 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine
Durée : 41.24
Style : Punk goth rock
  Infos :
  Contact label : http://www.peoplelikeyourecords.de
  Contact groupe : http://www.deepeynde.com/ http://www.myspace.com/thedeepeynde
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 15 juin 2007 , réalisée par AVALON
   
Etonnant. Voilà le terme approprié pour ce groupe californien qui ne propose pas ici un punk rock comme il est classique d’entendre…Car il s’avère que le mouvement punk s’est largement essoufflé et que tous les groupes actuels font tous à peu près la même chose, surtout aux USA. Or, il n’en est rien avec THE DEEP ENDYE, et là est la surprise.

Le groupe propose avec ce second album une musique très axée années 70/80', et qui devraient contenter les fans de Damned, The misfits, Stooges… C’est vitaminé, c’est très rock’n roll, avec des titres (certes basique, on fait bien du punk !) mais assez percutants et mélodieux et qui ont pour effet de faire bouger la tête. Et quand on se prend à taper du pied en cadence, c’est que le groupe réussi à nous faire vibrer. Le chanteur possède une bien belle voix très typée 70 mais assez curieux, entre du Damned et du…Dir en grey, très particulier. L’ensemble est très aéré et là ou est également l’autre bonne surprise, c’est que les titres ne sont pas linéaires. Prenez le titre « Divide the day « , c’est du pur The damned, avec une touche assez goth, du rock avec une atmosphère aérienne assez sombre, et un titre franchement très bon. Signés sur le label « people like you records » qui connait des groupes punk légendaires comme Total chaos, la production reste bonne car dans l’esprit du style proposé.
Pour être fan de The damned, j’ai trouvé ici mon bonheur avec ce groupe atypique. Bien entendu ceux qui ne connaissent pas comme moi tous les groupes de ces années folles trouverons cela sans intérêt mais on retrouve cet esprit rock’n roll débridé et jouissif de ces époques antiques (!). Conseillé à tous les vieux goth rockeurs des années 70/80, les autres n’auront sans doute pas le recul nécessaire pour apprécier à sa juste valeur. J’y retourne !







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