DEAFENING SILENCE
Blacklash [ 2006 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine
Durée : 53.50
Style : Heavy metal
  Infos :
  Contact label : http://www.brennus-music.com
  Contact groupe : http://www.deafeningsilence.fr.st http://www.myspace.com/deafeningsilencemetal
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 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 12 avril 2007 , réalisée par S.Y.L.
   
A l’aube des jours où le heavy métal a du mal à se renouveler…non, ce n’est pas ça du tout car aujourd’hui, le heavy métal ne se renouvelle plus du tout ! mais que se passe t il ? tout dans le style a-t-il déjà été exploré pour que chaque formation qui sorte un disque de heavy métal ressemble à ce point à la précédente ? sûrement pas…alors ? la question sera posée à Deafening Silence car certes, si leur dernière parution « Blacklash » se montre résolument différente et plus incisive que leur album 2003 « Edge of life », il n’en ressort pas moins un cruel et rébarbatif air de « déjà vu ».

Vous l’aurez ici compris, il est ici question de heavy métal, et sans faire de cours là dessus, je pense que tout le monde saura de quoi il s’agit. Pas de surprises sur « Blacklash » : structure des compositions classiques, couplet refrain solo, avec un chant dont les accents pointus ne sont pas sans rappeler ce très cher Kaï. Bon, pas de quoi fouetter un canard, d’accord, mais après tout, les musiciens ont la pêche, les titres sont techniquement bien exécutés (malgré une batterie un peu faiblarde) et la qualité sonore très bonne, mais quand arrivé au morceau 4. « Too young to die » les oreilles ébahies croient retrouver trait pour trait le « Run to the hill » de Maiden, non, là il faut dire « Stop », trop c’est trop, ou alors pourquoi ne pas jouer dans ce cas un tribute to Iron Maiden ? au moins les choses seraient claires. Mais à écouter de plus près, Blacklash n’en est pas si éloigné, le son basse typique de Steve Harris apparaissant un peu plus loin. L’apparition éphémère d’un chant féminin égaillant un peu le 6. « The seal of the damned » n’y fera rien, Deafening Silence ne parvient pas à se détacher de ses illustres prédécesseurs.
Blacklash aurait pu être l’album du mois d’Avril de 1980 que seuls les inconditionnels du heavy métal sauront vraiment apprécier, les autres s’en contenteront comme fond sonore pour les taches ménagères du Dimanche.







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