ALMAH Almah [ 2007 ] |
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Durée : 42.09 Style : Heavy metal |
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Infos :Projet d’Edu Falaschi (Angra) avec Emppu Vuorinen (Nightwih), Lauri Porra (Stratovarius), Casey Grillo (Kamelot)… | ||||
Contact label : | ||||
Contact groupe : | ||||
Interview : | ||||
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Chronique : 05 février 2007 , réalisée par S.Y.L. | ||||
Comme par exemple Kotipelto ou Luca Turilli avant lui, Edu Falaschi (actuel chanteur d’Angra) se sent pousser de nouvelles ailes l’emmenant par delà les cieux jusqu’au projet « Almah ». Tiré de l’hébreu, « almah » est le nom de la jeune fille qui devra donner naissance au messie…rien que ça…Alors quand à savoir si Edu Falaschi est le messie du heavy metal ? cela n’est scientifiquement pas encore démontré. Quoiqu’il en soit, celui-ci n’hésite pas à s’entourer d’une véritable dream team musicale pour donner naissance à…son oeuvre. Pas de miracle pour ceux en espérant un, Almah (avec marqué en gros sous le titre « Edu Falaschi », au cas où certains l’ignoraient) se présente certes en tant que « projet musical indépendant » mais reste fortement marqué par l’esprit Angra en particulier dans les structures avec chœur et dans les harmonies. Mieux vaut également apprécier la voix du chanteur car celle-ci est particulièrement mise en avant, au détriment parfois du reste de l’ensemble instrumental dont la technique, parfaite, aurait eu le mérite d’être mieux entendue. Attention à ne pas se laisser tromper par le premier titre « King » qui en tant qu’ouverture, diffère pourtant fortement du reste de l’album de part ses rythmiques hachées limites thrash (qui se retrouvent sur 5. « Children of lies »). Dommage d’ailleurs que ce petit coté heavy/thrash un peu râpeux mais qui a la pèche ne se retrouve pas plus souvent sur Almah, celui-ci se voyant toujours très vite occulté par l’aspect « Angra-tittude ». Les quatre derniers titres nettement moins créatifs, voir laborieux, très légers (avec un risible « Box of illusion ») et à peu de choses près tous identiques viennent confirmer cette tendance, clôturant maladroitement et dans une mollesse étonnante un album manquant d’homogénéité de, par et pour Edu Falaschi. Les fans des tous premiers rangs crieront peut être au génie, pour les autres appréciant Angra en général restons en à « Fireworks » en soupirant. N’est pas prophète qui veut… |
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