CREMATORY Klagebilder [ 2006 ] |
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Durée : 50.55 Style : Death / electro |
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ORIGINALITE |
TECHNIQUE |
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EMOTION |
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Chronique : 15 septembre 2006 , réalisée par S.Y.L. | ||||
« BOUM ! », attention, la machine � créer des hits s'est remise en marche. Produit made in deutschland, voici enfin « Klagebilder », un album très attendu et titillant la curiosité, évolution et créativité étant les termes habituellement associés � la musique de Crematory. Et Klagebilder s'inscrit effectivement dans le juste prolongement d'une évolution de style : les claviers viennent y prendre une place toujours plus importante, ainsi que les arrangements électroniques. Il en résulte certains titres tels que 5. « Kaltes feuer », mix techno trance-death, véritable tube � enflammer le dance floor ! (vous ne me croyez pas ? et bien, allez y, écoutez ! attention ça swing !). J'en vois quelques uns qui s'affolent, pas d'inquiétude ! la tendance dominante de l'album reste ce death très mélodique, où il convient de saluer en premier lieu le remarquable travail réalisé aux claviers, omniprésents et éléments clé : il faut dorénavant gérer les émouvantes parties au piano (13. « Spiegel meiner seele »), les plages de synthé et les boucles électroniques (créant parfois un petit aspect « trip hop », comme sur l'intro 1. « Klagebilder »). Du coté des vocaux, c'est du lourd ! avec un Felix au sommet de sa forme et très � l'aise dans son registre de très gros chant death agressif, alternant avec des parties claires qui ne sont pas sans rappeler le son aperçu auprès de groupes tels qu'Amorphis. Se retrouvent également des compositions au son typiquement « crematoriens » (7. « Warum »), relançant dans les esprits les refrains d' « Act Seven » qui n'est pas si loin. hey, mais l� aussi, les mélodies restent longtemps en tête (Crematory, futurs lauréats de l'eurovision ?) ! qui plus est ce mélange de guitares lourdes et de boucles électro produisent un effet des plus dynamisant. Le petit bémol malgré tout provient de quelques titres aux structures peut être un peu trop proches, et sur les 13 que compte l'album, tous ne sont pas des chefs d'�?uvre d'innovation, même si cet aspect de « facilité » ne nuit pas gravement � la santé d'un album bien construit et dont les titres se fredonnent facilement plusieures heures après écoute. |
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