WIZARDTHRONE Hypercube necrodimensions [ 2021 ] |
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CD Album Durée : 44.41 Style : Extreme wizard metal |
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Chronique : 04 juillet 2021 , réalisée par Black.Roger | ||||
Alors voici un nouveau "supergroupe", un, avec Vincent "Jake" Jones (Aether Realm), Mike Barber (Gloryhammer, Deathcode Society), Matthew Bell (Forlon Citadel), Chris Bowes (Alestorm) et Eric Brown (Nekrogholikar, Vale of Pnath). Cette nouvelle entité métallique se nomme WIZARDTHRONE et son premier album s'intitula" "hypercube nekrodimensions" pour un certain "extreme wizard metal" situé dans la dimension spatiale d'un sorcier maléfique donc ! Au premier abord nous allons dire qu'il serait facile de placer cet album entre l'heroïc fantasy heavy d'un Glory Hammer, le pirate metal d'un Alestorm et pourquoi pas dans une dimension black symphonique de Dimmu Borgir par exemple. Mais, non, non, non, ce mélange de styles est trop convenu et Wizardthrone va plus loin en poussant le heavy-metal dans ses derniers retranchements, en l'incrustant de dérapages black-metal et en introduisant des pépites néo-classiques. Ici les compositions nous offrent des mélodies quelque peu acides, des passages flirtant avec le death-metal aussi surtout avec une voix arrachée et grave nous introduisant dans un univers assez violent pour un style plutôt "SF-Apocalyptique", et puis il y a cet orgue insidieux ! Bref, des riffs thrashisants découpent le paysage spatio-temporel, symphonico/ spatial si vous voulez. Et l'on en rajoute encore avec cuivres et claviers éclairant le paysage sombre tel un feu d'artifice de metal extrême. A la fin de l'écoute des 8 titres pour 45 minutes d'enregistrement nous nous sentons comme "repus" de sons bien agencés qui ont la particularité de rester ancrés dans notre matière grise, et pour longtemps. Et celà est un signe, signe que Wizardthrone a trouvé le moyen de se faire une grande place dans le paysage métallique actuel. Nous n'en attendions pas moins de la part de musiciens qui n'ont plus rien à prouver quant à leur capacités techniques et leur créativité. La conclusion de cette petite chronique est évidente et pavillon666 ne pouvait qu'attribuer un coup de cœur à cette première œuvre d'un groupe au potentiel remarqué et remarquable, on aime ! |
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