NINKHARSAG
The dread march of solemn gods [ 2021 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 43.45
Style : Black-metal
  Infos :
  Contact label : https://www.facebook.com/vendettacult/
  Contact groupe : https://www.facebook.com/Ninkharsagblackmetal/ https://ninkharsag.bandcamp.com/album/the-dread-march-of-solemn-gods
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 24 avril 2021 , réalisée par Black.Roger
   
En ce mois d'Avril 2021, le black-metal British frappe à nouveau avec la sortie du second album de NINKHARSAG intitulé " the dread march of solemn gods".

Je ne vous cacherai pas que l'artwork de la pochette m'a de suite interpellé en me rappelant celles de Dissection, et m'a donc poussé à effectuer une petite chronique de Ninkharsag, formation qui m'était inconnue jusqu'à présent.
Et j'ai bien fait de me pencher sur ce nouvel enregistrement de 10 titres qui m'a fait partir en marche arrière dans les 90's où Dissection bien sûr, mais aussi en second lieu Bathory et Mayhem tenaient le "haut du pavé" à l'époque dans ce black-metal venu du Nord.
Bon, il faut admettre que nos obscurs Anglais s'était fait remarqué par un premier album " "the blood of celestia kings" paru en 2015, mais ce fus sans plus selon les critiques.
Alors, cette fois-ci, ce groupe formé en 2009 par Paul Armitstead en version solo au départ, s'est vu complété avec l'ajout en 2011 de plusieurs musiciens. Et pour ce second album c'est un quatuor composé de Kyle Nesbitt (vocaux, guitare), Paul Armitstead (guitare), James Pipelle (batterie) et Aleksandar Kokai (basse), qui s'est enfermé dans les Foel Studios avec Chris Fielding (Primordial, Winterfylleth) afin d'enregistrer ce "the dread march of solemn gods".
Ecoute donc, et après un premier titre instrumental "night wrath" qui pose les bases d'un heavy-cold-black, tout démarre avec des riffs scalpels, insidieux et des hymnes sauvages, et ce durant 45 minutes d'enregistrement.
Loin de moi l'idée de considérer Ninkharsag comme un "tribute band" de Dissection (quoique ?), mais je dois admettre que je savoure ce black teinté de heavy et de thrash à l'occasion qui fait du bien à mes conduits auditifs. En effet ces musiciens de la perfide Albion ont de la ressource et leurs compositions interpellent, leurs mélodies glacée aussi. Nous avons à faire pour ce second opus à des musiciens qui sont quasiment irréprochable techniquement parlant et qui réussissent à semer le troublé dans nos têtes avec ce pseudo "revival" d'une période "black magic", celle des 90's amen!

Ce nouvel album s'adresse donc à tous les nostalgiques du heavy-black qui nous a marqué au fer rouge à l'époque. Je vous conseille donc de découvrir Ninkharsag, une horde British qui vaut largement le détour.







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