BLUE ÖYSTER CULT
The symbol remains [ 2020 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 71.00
Style : Hard-rock
  Infos :
  Contact label : http://www.frontiers.it/album/5648
  Contact groupe : https://www.facebook.com/blueoystercult/about http://www.blueoystercult.com/?fbclid=iwar2tapg4id4equenqinnirpcrvdm0xthhezfagv0ggtqzvgryhypqutg7ls
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 11 novembre 2020 , réalisée par Stef
   
Salut !

Retrouver un nouvel album de Blue Öyster Cult, 19 ans après leur dernière production, était une chose inespérée. Un peu comme si on nous annonçait que l’année 2020 était une blague de potache et qu’on allait tout reprendre sur de bonnes bases.
Et c’est ce que semble avoir décidé BÖC, en revenant à l’essentiel de ce qui a fait leur gloire. Retrouver les bonnes bases du rock et nous proposer un album plus qu’honnête.
La voix d’Éric BLOOM est également de retour, comme sur le premier titre « THAT WAS ME », morceau gras à souhait avec une rythmique en béton et un refrain accrocheur.
« TAINTED BLOOD » nous permet de découvrir les talents de chanteur et de compositeur de guitariste /claviériste Richie CASTELLANO. Un très bon titre même s’il est très dérangeant de ne pas entendre les voix de BLOOM ou de DHARMA.
« BOX IN MY HEAD » et « NIGHTMARE EPIPHANY » sont les justes opposés de ce que Donald ROESER est capable de fournir. D’un côté un titre, même s’il est agréable à entendre, sirupeux et sans aspérité et de l’autre une compo enjouée, vivante et rythmée où la guitare et la voix mélancolique de DHARMA font merveilles. « FLORIDA MAN » se place dans la deuxième catégorie, de justesse…
On retrouve avec bonheur les riffs typiques de B.Ö.C sur les titres magistraux que sont « EDGE OF THE WORLD » et surtout « THE RETURN OF STE CECILIA », certainement le meilleur de cet album.
« THE ALCHIMIST » nous rappelle que BLOOM est un conteur hors pair. Il excelle dans l’exercice de raconter des histoires fantastiques. Tous les ingrédients sont présents sur cette compo, avec intrigue, rebondissement, combat, tout cela avec des ruptures rythmiques et des joutes guitaristiques de haut-vol.

Tout l’album alterne entre le bon, voir le très bon et parfois le plan-plan en manque de génie. Mais cela faisait tellement longtemps que l’on n’avait pas entendu du très bon chez B.Ö.C qu’il serait vraiment dommage de ne pas profiter de ces quelques minutes de bonheur.
BLUE ÖYSTER CULT n’est pas encore mort, loin de là, et je vous invite à célébrer ce groupe majeur en écoutant ce très bon album.
Stef







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