SKELETAL
Bitterness and burning hatred [ 2020 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 38.50
Style : Death/thrash
  Infos :
  Contact label : https://www.facebook.com/deathinpiecesrecs/
  Contact groupe : https://www.facebook.com/skeletalband/
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 16 juin 2020 , réalisée par Black.Roger
   
La Finlande est riche en groupes de metal, en particulier dans la scène death et death mélodique. Ceci dit, voici une nouvelle formation venant de Jyväskylä se nommant SKELETAL qui nous présente son second album intitulé "Bitterness and burning hatred" à paraître début juillet via Death In Pieces Records.

Cette formation de death/thrash "old-school" avait débuté en 2007, mais elle est ressuscitée d'entre les morts en 2013 en enregistrant un EP 4 titres "Rotten inside out". Et puis dans l'ordre des choses, un premier album intitulé "Deadful life", sorti du cimetière début 2017 nous a interpellé, mais sans plus, dirons nous car les compositions étaient bien convenues et sans accroche particulière.
Alors, est-ce que "Bitterness and burning hatred" va susciter un peu plus de curiosité de notre part ?
Oui et non en fait, car le quatuor composé de Markus à la guitare lead, Samuel, guitare/vocaux, Roop, basse et Josa, batterie, ne sait pas encore exploiter son potentiel bien présent et reste ancré dans ses influences du death/thrash des 80/90's à savoir Morbid Angel, Death, Pestilence, Carcass et autre Slayer.
C'est un peu dommage car les 9 titres enregistrés sur cette galette semblent "coincés" encore une fois dans leur certitudes où le groupe n'ose pas se "lâcher" afin d'apporter sa touche personnelle qui le ferait sortir du lot dans le style.

Résultat des courses, voici un second album qui n'apporte pas grand'chose de nouveau et d'accrocheur, c'est dit. Alors, l'épreuve tant redoutée du troisième album fera-t-il éclater au grand jour cette formation ? Peut-être, en attendant "Bitter and burning hatred", album honnête quand même pose son regard désabusé sur notre (belle) société et nous fait admirer le bel artwork de couverture du Cd oeuvre de Samuel Lahikoinen, c'est déjà ça !







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