MEMORIAM Requiem for mankid [ 2019 ] |
||||
CD Album Durée : 48.03 Style : Death metal |
||||
Infos : | ||||
Contact label : | ||||
Contact groupe : | ||||
ORIGINALITE |
TECHNIQUE |
PRODUCTION |
EMOTION |
|
Chronique : 03 juillet 2019 , réalisée par Black.Roger | ||||
Les inconditionnels de feu BOLT THROWER se sont jetés sur MEMORIAM avec un premier opus « for the fallen » paru en 2017, OK. Mais dans une certaine précipitation à l’enregistrement, à la composition et à la production ce premier « full-lenght » nous a quelque peu déçus. Qu’à cela ne tienne, MEMORIAM sort dans la foulée un second enregistrement en 2018 « the silent vigil » qui n’arrange rien chez les amateurs de death-metal lourd et guerrier. Alors nos Britishes préférés du old-school de cimetière nous présentent en ce dernier jour du printemps 2019 un troisième « méfait » intitulé « requiem for mankind » afin de rattraper le coup pourrai-t-on dire. Il faut dire qu’avec un line-up de rêve composé du chanteur Karl Wiletts (ex-Bolt Thrower), du bassiste Frank Healy (Sacrilège, ex-Benediction, ex Napalm Death), du guitariste Scott Fairfax (Benediction live) et du batteur Andrew Whale (Bolt Thrower) on s’attendais à quelque chose de costaud dans le style. Alors ce troisième album va-t-il enfin nous accrocher vraiment ? Déjà l’artwork de couverture de la pochette est remarquable il faut le souligner et nous allons tenir dans nos mains fébriles cette pochette durant l’écoute des 10 titres de l’album pour 48 minutes d’enregistrement. Tout débute avec « shell shock » titre qui n’aurai pas fait tâche dans la discographie de …Bolt Thrower. Mais ensuite Memoriam se lance un peu dans des compositions plus personnelles, un « undefeated » plus thrash et des titres plus « modernes » et enlevés (never the victim, austerity kills et in the midst of desolation). Et puis nous retombons dans une certaine lourdeur écrasante mid-tempo (refuse to be led, the veteran). Du plus arraché ensuite avec « requiem for mankind » et « fixed bayonets » et pour terminer on nous sert « interment » un instrumental style « funeral doom ». Alors, résultat des courses, ceux qui n’ont pas connu la période Bold Thrower vont adorer et ceux, qui comme moi, ont adulé le groupe référence vont se satisfaire de ce troisième opus de Memoriam. Ne crachons tout de même pas dans la soupe car cette petite heure de metal old-school tient quand même la route et le groupe a progressé nettement à tous point de vue avec cette fois-ci une production à la hauteur ; il semble avoir trouvé sa voie mais nous attendons quand même la suite pour être « emballés » nous les metalheads invétérés du metal-de-la-mort-qui tue, amen ! |
||||
AUTRES CHRONIQUES DU MEME GROUPE | ||||
|