TERRORIZER Caustic attack [ 2018 ] |
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CD Album Durée : 39.03 Style : Death/grind |
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Chronique : 22 novembre 2018 , réalisée par Black.Roger | ||||
Oyez, oyez, braves gens amateurs invétérés de death/grind, la légende vivante (encore une !) TERRORIZER est de retour sur nos platines avec un nouveau "méfait" composé de 14 titres et intitulé "Caustic attack". Bon, je ne vais pas vous faire le coup de l'historique (très compliqué) de cette formation de metal extrême qui avait accouché (dans la douleur ?) en 1989 d'un premier album "Direct in your face" intitulé "Worlld downfall" avec un line up incroyable. Jugez plutôt par vous même, Pete Sandoval et David Vincent (Morbid Angel), Jesse Pintado (qui ira plus tard dans Napalm Death) et Oscar Garcia (Nausea). Et puis, et puis, leur second opus "Darker days ahead" a marqué la fin prématurée de la formation en 2006 avec entre autre le décès de Jesse Pintado. Contre toute attente Terrorizer remonte au créneau en 2012 avec la sortie de "Hordes of zombies" plus death metal que grindcore, mais bon, ça passe ! Mais Après un silence radio de six années, voici que ce groupe appelé "éphémère" au départ car composé de musiciens "voyageurs" allant de formations en formations, refait parler de lui en 2018 avec sa nouvelle attaque caustique". Niveau line-up (pour l'enregistrement de cet opus), seul le batteur Pete Sandoval est rescapé de la première mouture de ces death/grindcoreux, mais attention, deux nouveaux arrivants (depuis 2013 en fait), Lee Harrison (Monstrosity) à la guitare et Sam Molina (Monstrosity, Malvolent creation) chant/basse, tirent leur épingle du jeu car ce ne sont pas des "enfants de chœurs" mais des pro du style, si style il y a bien entendu. L'album en lui-même est bien construit, le riffing est très intéressant, furieusement intéressant même. Le duo basse batterie déboîte le tout, basse et batterie enfoncent le clou très profondément dans ce qui nous sert de cerveau. Et la voix d'outre-tombe surnage dans cet océan de brutalité incontrôlée (si, un peu quand même car un soupçon de mélodies vicieuses transparaît). Et pour mettre en valeur tout ça, un son à décorner un troupeau de buffles en rut rehausse le tout, que demander de plus ? Rien en fait, Terrorizer nous est revenu et on aime, que dis-je on adore. Alors, conseil d'ami, procurez-vous vite cet album qui mettra une ambiance extrême dans votre chaumière, je ne vous le répéterai pas deux fois ! |
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