PROFANE BURIAL
The rosewater park legend [ 2049 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 49.40
Style : Extreme Symphonic Metal
  Infos :
  Contact label : http://apathiarecords.com/
  Contact groupe : https://www.facebook.com/profaneburial/ https://profaneburial.bandcamp.com/
 
 Pavillon 666 - metal rock webzine ORIGINALITE
Pavillon 666 - metal rock webzine
TECHNIQUE
Pavillon 666 - metal rock webzine
PRODUCTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
EMOTION
Pavillon 666 - metal rock webzine
  Chronique : 14 avril 2018 , réalisée par Eniok
   
Nouvelle sortie du label Apathia Records, et qui dit Apathia dit souvent bonne sortie. C'est donc tout hypé et en quête d'un groupe de black sympho « à la Anorexia Nervosa » (toujours à la recherche de CE type de black sympho) que je me rue sur Profane Burial, un nouveau groupe Norvégien.
L'album s'appelle « The Rosewater Park Legend » et si je dis pas de bêtises c'est une référence à un Silent Hill. Profane Burial nous conte donc une fiction qui se déroule dans ce fâmeux Rosewater Park, qui est peut être une référence à Opeth aussi, avec son Blackwater Park. On a un artwork assez sombre, très rouge, on distingue un bâtiment (une église?) ou en tout cas un lieu qui ne nous mets pas en confiance. On s'attend à une histoire sordide décrite de façons grandiose !

Bon que l'on soit clair, le black sympho est mort depuis longtemps. Mais je ne dis pas que Profane Burial est mauvais. En fait, au niveau du chant on a une grosse base death metal. Chant caverneux, tempo lent et lourd, tandis que la musique, elle, est bien plus black metal. Alors non ça ne ressemble pas du tout à Anorexia Nervosa. Ce n'est pas une musique violente, où les orchestrations te veulent du mal.
Les morceaux sont assez long, et semblent séparés en plusieurs parties, on est pas dans la structure conventionnelle avec les couplets et les refrains, l'histoire avance petit à petit, la musique devient de plus en plus pesante mais alterne avec des moments de grandeur. Mais on ne peut pas dire que c'est varié pour autant, surtout le chant en fait, qui reste finalement assez monotone.

Au final, les 50 minutes passent assez vite, j'aurai préféré des compos plus agressives afin que l'on s'immerge plus dans la musique. « The Rosewater Park Legend » en fait, c'est comme un film. Il se prend comme un tout, mais aucun morceau ne ressort vraiment. C'est un album à découvrir même s'il ne va pas réinventer le genre.







AUTRES CHRONIQUES DU MEME GROUPE