MELTED SPACE Darkening light [ 2018 ] |
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CD Album Durée : 45.73 Style : Opéra metal |
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Chronique : 28 février 2018 , réalisée par furia | ||||
Melted Space groupe français d’opéra metal, viens de sortir le 18 février 2018 son quatrième album intitulé « Darkening Light », cette formation est l’œuvre de Pierre Le Pape que l’on a pu voir dans Embryonic Cells qui pratiquaient un Death metal. Opéra metal c’est un genre que je ne connais pas du tout et c’est ce qui m'a interpellé, j’écoute beaucoup de genres, de styles différents mais ce dernier m'est totalement inconnu et ma curiosité à voulu s’explorer au genre. À la première écoute j’aurais pu reléguer ce disque à du metal symphonique, pour beaucoup, et moi le premier je m’y serais trompé si le genre n’était pas désigné à la base. Alors, pourquoi se donner l’étiquette d’opéra metal ? Pierre Le Pape est un compositeur, il crée pour raconter une histoire, dans cet album il a voulu nous plonger dans un univers mi-sombre et mi-lumière. Pour son dernier opus comme sur les précédents il s’entoure d’artistes de renom comme Guillaume Bideau du groupe de death metal Scarve ou Mikael Stanne de Dark Tranquility ou In Flames, coté femme on est pas en reste avec Ailyn Gimenez Garcia la jolie soprano espagnole qui fait partie du groupe de metal symphonique Sirenia. Donc comme vous le comprenez le casting est extrêmement vaste dans les styles, on va du death metal en passant par le classique et le jazz pour les intervenants. Et niveau musique ça annonce quoi ? Au niveau de la musique, on peut s’attendre à quelque chose d’exceptionnel au vu des intervenants sur cet opus, oui ça joue bien on sent la maîtrise de chacun, que les chanteurs death ont réussi à être en cohésion totale avec des chanteuses lyriques, et ce n’est pas une partie de plaisir il faut revoir leur différents types de chants pour chacun et là-dessus on se rendre compte du travail accompli par le fondateur. Les musiciens qui opéreront plus dans le côté mi-lumière nous proposerons tout le long du CD des rythmiques extrêmement rapides avec une saturation vraiment dosée au millimètre, le côté mi-sombre sera à la tâche des chanteurs ou les chants caverneux se font ressentir, avec toujours cette pointe de chant lyrique pour nous rappeler que la lumière n’est jamais loin. Au niveau artwork conçu par le talentueux Adrien Bousson (qui a fait entre autres le logo de Season Of Mist ) nous propose un visuel en accord avec la musique et la trame proposée. En conclusion, j’ai aimé cet album, mais n’étant pas un fin expert du style je doute avoir pu comprendre les subtilités de cette œuvre. Un CD agréable à écouter, à l’avenir, et grâce a cette découverte je vais plus m’attarder sur ce style. Cet opus plaira sans aucun doute aux fans d’Amon Amarth pour le côté growler du chant, d’Epica pour le côté symphonique. |
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