DEAD COWBOY'S SLUTS
Obedience [ 2016 ]
  Pavillon 666 - metal rock webzine CD Album
Durée : 43.11
Style : Thrash Metal
  Infos :
  Contact label : http://www.m-o-music.com/site-metal/
  Contact groupe : http://deadcowboyssluts.tumblr.com/ http://www.facebook.com/deadcowboyssluts/app/178091127385/
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TECHNIQUE
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PRODUCTION
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EMOTION
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  Chronique : 29 juillet 2016 , réalisée par Franckenstrat
   
Après « The Hand Of Death », un premier album plutôt réussi en 2010, les voici enfin de retour. En quatre années on peut dire que les choses ont bien avancé.

Durant cette période, il y a eu pas mal de boulot, des kilomètres de routes parcourus, des litres de Jack Daniels descendus et tout au bout un nouvel opus particulièrement cinglant, je veux parler bien sur d’Obédience.

Les cinq cowboys morts n’ont pas fait dans la demi-mesure et ça cravache du premier au douzième titre.
« Obédience » est une synthèse de thrash ultra-violent qui se déguste comme un bon vieux Pantera. Cet album particulièrement réussi embaume l’odeur du napalm au petit matin avec des relents sauvages de whiskey du Tennessee.

Douze titres hypers costauds sous forme d’électrochoc composent le programme pur et dur d’ « Obédience ». Loin de faire dans le feutré et les violons, les Dead Cowboy’s Sluts ont tout casé dans la rage et la puissance, le tout agrémenté d’une production particulièrement excellente.

Si l’on se fie à la jaquette plutôt d’une conception assez sobre par rapport au premier album, on est sacrément surpris dès qu’on introduit l’album dans le lecteur. Plus que du thrash de haute volée, les Parisiens ont su mettre l’accent sur une musique beaucoup plus incisive qui tend par moments sur le metalcore voire le deathcore.
Comme diraient les Tontons Flingueurs : « C’est du brutal !! ». Pas de compromis pour les cinq parisiens qui n’ont toujours pas décidé de faire dans la dentelle en agissant comme un véritable rouleau compresseur qui renvoie bien des pionniers du genre à leurs couches-culottes.

En résumé, nous avons affaire ici à un opus blindé de talent et testostérone qui n’a pas fini de faire parler de lui, surtout lorsque les douze titres qui le composent vont débouler sur scène.

Les oreilles et les âmes sensibles n’ont qu’à bien se tenir, see you very next time in the pit !!









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